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armée de se retirer ; s’embarque pour l’Espagne, où il va cacher sa honte, 136. Se rend à Villefranche pour traiter de la paix avec François I. Danger qu’il court en revoyant sa sœur Éléonore ; conclut une trève de dix ans, 141. Son entrevue avec le Roi à Aigues-Mortes, 142. Obtient du Roi de passer en France ; vient à Paris ; craintes qu’il y éprouve, 154. Cherche à se concilier la duchesse d’Étampes, 156. Arrivé dans les Pays-Bas, révoque toutes les promesses qu’il a faites ; essaie de brouiller le Roi avec les Vénitiens et Soliman, 157. Fait assassiner ses ambassadeurs près de Cantalone, 158. Se rapproche de Henri VIII ; accable le duc de Clèves, le force à renoncer à l’alliance de la France, 166. Assiége Landrecies, 167. Se rend maître de S.-Dizier par une perfidie, 171. Prend Épernay et Château-Thierry ; se détermine à entrer en négociation ; conclut le traité de Crépy, 173. (Introd.)

Après l’entrevue des rois de France et d’Angleterre, Charles va trouver Henri VIII à Cantorbéri ; comment il y est reçu, 285. Se rend avec son armée à Valenciennes ; n’ose attaquer l’armée française, 326. Se retire en Flandre, 327. Refuse de signer le traité de paix conclu par la médiation du roi d’Angleterre, 328. Essaie de rompre la ligue entre le Roi, les Vénitiens et les Suisses ; recherche l’alliance de Léon X, 333. Envoie à François I, prisonnier à Pissequeton, le seigneur Du Ru son grand-maître, pour lui proposer des articles déraisonnables, XVIII, 7. Visite le Roi à Madrid, le fait conduire jusqu’à Bayonne, 15. Envoie des ambassadeurs auprès du Roi pour savoir la réponse que les États de Bourgogne ont faite à sa proposition de les avoir sous son obéissance, 17. Quelle est cette réponse, 18. Fait arrêter les ambassadeurs des puissances liguées contre lui, 32. Recherche l’alliance du Pape ; se rend à Gênes, 98. Est couronné empereur à Bologne ; remet François Sforce dans ses États, 99. Fait marcher son armée sur Florence ; fait faire le siége de cette ville, 100. Réponse de Charles au défi de François I, 109. Prie François I de s’unir à lui pour faire la guerre aux Turcs, 121. Cherche à donner une couleur odieuse à la réponse que le Roi lui fait à cet égard, 130. Son entrevue à Bologne avec le Pape ; objet de cette entrevue, 143. Ses prétentions à l’égard de Gênes, 144. Détails sur ce sujet, 145. Comment l’entrevue se termine, 155. Interprétation que donne l’Empereur à la réponse que lui fait François I au sujet de la convocation d’un concile général, 165. Ses instances auprès du Pape pour qu’il se prononce contre la dissolution du mariage du roi d’Angleterre, 178. Ses efforts pour empêcher l’entrevue proposée entre le Pape et le roi de France, 179. Sollicite le Pape de faire rendre justice à Catherine d’Arragon, 181. Comment il reçoit les plaintes de François I au sujet de la mort de son ambassadeur Merveilles, décapité à Milan, 199. Témoigne à l’ambassadeur du Roi le désir de faire une alliance plus étroite avec lui pour faire la guerre aux Turcs, 274. Véritable motif de l’Empereur en faisant cette demande, 275. Propositions de mariage faites pour amuser le Roi, 276. Sa conduite équivoque et dissimulée dans ses négociations, 315. Ses préparatifs de guerre en Espagne et en Allemagne, 316. Il entre à Rome, 320. Ses conférences avec l’ambassadeur Velly, 325. Son discours dans le conclave contre le roi de France, 332. Refuse d’entendre la réplique des ambassadeurs français, 350. Donne le lendemain des explications sur son discours de la veille, 354. Sa réponse embarrassée à l’ambassadeur Velly, 359. Comment il lève l’audience pour éviter de nouvelles répliques, 361. Sa lettre au roi d’Angleterre communiquée au roi de France ; objet de cette lettre, 390. Réponse obscure qu’il fait à