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l’ambassadeur Velly, 405. Projette de passer en Provence, 502. Les raisons sur lesquelles il appuie ce projet, 508. Discours à son armée, 514. Est accusé par quelques-uns de la mort du Dauphin, 518. Partage son armée en trois corps, et marche vers Nice, XIX, 3. Arrive à S.-Laurent, ville de France, 6. Harangue son armée, 7. Envoie au Pape et à tous les princes d’Italie le seigneur Ascagne Colonne avec des instructions pour les engager à se lier avec lui contre la France, 97. Pertes que lui font éprouver les paysans des environs d’Aix, 103. Sévérité qu’il exerce envers eux, 104. Fait demander aux habitans d’Anvers une prolongation d’un an pour le remboursement des deniers qu’ils lui ont avancés, 105. Projette de livrer bataille, 106. Se rend avec une troupe choisie devant Marseille, 107. Se retire hors de la portée du canon ; donne ordre au marquis Du Guast et au capitaine Paul Saxe d’aller reconnoître la ville d’Arles, 109. Comment une partie de son armée est défaite et battue, 112. Il lève son camp, et se retire d’Aix à Fréjus, en laissant sur les routes près de 2,000 morts, 157. Vient à Nice pour traiter avec le Pape et le roi de France d’une paix générale, 292. Conclut une trève de dix ans, 293. Demande au Roi un passage sûr à travers ses États, 295. Persuade au Roi d’envoyer de concert avec lui des ambassadeurs à Venise pour empêcher cette république de traiter avec Soliman ; quel est en cela le but de l’Empereur, 297. Comment il est accueilli en France et par le Roi, 298. Son entrée à Paris, 299. Arrive en sûreté dans les Pays-Bas, soumet les rebelles, 300. Sommé de tenir la parole qu’il a donnée au Roi, déclare qu’il n’a rien promis, 301. Son entreprise contre Alger ; son entrevue avec le Pape à Lucques, 319. Réponse frivole qu’il fait au roi de France sur l’assassinat de Frégose et Rincon, 320. Ses motifs secrets en annonçant une entreprise contre les Turcs, 362. Fait la paix avec le duc de Clèves, qui se soumet à lui et abandonne l’alliance de la France, 454. Rejoint ses troupes réunies devant Landrecies, 457. Commence le siége de cette place, 461. Essaie de l’affamer, 464. Se retire à Cambray, où il fait construire une citadelle ; enlève à cette ville sa liberté, 476. Médite une nouvelle invasion en France ; comment il gagne tous les États d’Allemagne, même les protestans et le roi d’Angleterre, 521. Vient assiéger Ligny en Barrois, 524. S’en rend maître par capitulation ; attaque S.-Dizier, 526. Essaie de déloger la cavalerie française de Vitry, 532. Ce qu’il exécute, 535. Détails sur le siége de S.-Dizier, 537. Comment la ville est rendue à l’Empereur d’après l’agrément du Roi, 540. L’Empereur entre en négociations de paix, 545. Vient camper près de Châlons, 546. Puis à Château-Thierry, où il trouve des vivres en abondance, 548. Se replie sur Soissons, 549. Conclut la paix, et se retire à Bruxelles, emmenant avec lui des otages ; leurs noms, 552. (Mém. de Du Bellay.)

Charles rassemble une armée de 100,000 hommes pour assiéger Metz, XX, 53. Fait investir cette place, 54. Vient lui-même au siége, quoique dans un état de santé déplorable, 55. Cherche à ranimer le zèle de son armée ; se retire au château de Horgue ; ses fanfaronnades ; pourquoi il est forcé à lever le siége ; son dépit, 56. Fait attaquer Térouenne, qui est prise d’assaut et rasée ; s’empare de Hesdin, 59. Laisse les Français ravager le territoire de Cambray, dans le dessein de leur livrer ensuite une bataille ; est vaincu par Henri II, et se retire vers S.-Omer, 61. Abdique en faveur de son fils Philippe, au milieu des États des Pays-Bas ; fait donner à son frère Ferdinand le titre de roi des Romains, 67. (Introd.) — Fait la guerre aux Luthériens, XXIV, 8. S’empare de Donawert, 9. Fait prisonnier le