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342. Bat le sieur de Saveuse près de Chartres, et le fait prisonnier, XXXIX, 165. Satisfaction qu’éprouve Henri III en apprenant sa victoire, 166. Se distingue au siége de Chartres par un pont couvert de son invention, XL, 189. Meurt de maladie ; son éloge, 191. (Mém. de Cayet.) — Sur les promesses que lui font les habitans de Milhaud, il entreprend le siége de Compeyre, XLIII, 459. Détails sur ce siége, 460. Est obligé de le lever, 466. Va au secours de Marvejols, 467. Son voyage en France, 472 et suiv. (Mém. de S.-Auban.) — Il termine la bataille d’Arques par une action d’éclat, XLI, 576. (Mém. du duc d’Angoulême). — Sa réponse aux troupes du duc de Mayenne devant Tours, XLV, 401. Défait les troupes de Saveuse et de Forceville, 403. Combat vaillamment à la journée d’Arques, XLVI, 12. Chasse les lansquenets d’un faubourg de Dieppe, 13. Meurt peu après la réduction de Chartres, où il a été blessé ; regrets que le Roi donne à sa mort, 224. (Mém. de L’Estoile.)

Châtillon (M. de) est fait maréchal de France pour être toujours demeuré dans le devoir, L, 536. Entre dans le Luxembourg ; assiége et prend Damvilliers, LI, 279.

Chaudiners (Guill. de) défend un pas d’armes près de Dijon contre Josse de S.-Jore, IX, 343.

Chaulnes (le seign. de) est fait prisonnier près de Gravelines, XXXII, 202.

Chaulnes (M. de) est envoyé en ambassade en Angleterre pour empêcher le roi de ce pays de prendre part dans tout ce qu’on a à démêler en France avec les huguenots, L, 501.

Chaume (J. de La), célèbre ministre de Genève, vient à Montpellier, où son éloquence fougueuse et entraînante lui attire un grand nombre de partisans, XX, 100.

Chaumergis (J. de) défend un pas d’armes près de Dijon contre un chevalier du Dauphiné, IX, 347 ; et contre Martin Ballard, 351.

Chaumont (Hugues de) manque aux promesses qu’il avoit faites aux chefs croisés, I, 132.

Chauveau, ancien curé de S.-Gervais, prêche publiquement que le Pape est l’antechrist, XLVI, 444. Le cardinal de Bourbon veut l’empêcher de prêcher ; il fait des excuses au légat, 445. Abus contre lequel il prêche, 446.

Chauveau (le petit), curé de S.-Gervais, meurt aux Cordeliers de Senlis d’une fièvre chaude causée par un bouillon que lui ont donné les cordeliers. Pourquoi ceux-ci le haïssoient, XLVII, 79.

Chauvet, avocat, meurt victime de son avarice, laissant 310,000 livres, XLVIII, 374.

Chauvigny (le seign. de) se rend à Sully auprès du Roi, VIII, 183.

Chaux (le capit.) est blessé et fait prisonnier à l’attaque d’un fort dans la terre d’Oye, XXI, 73.

Chavagnac, curé de S.-Sulpice à Paris, prêche librement contre les faux catholiques ; il traite d’hérétiques ceux qui refusent l’instruction à un hérétique qui veut bien se convertir, XLVI, 141.

Chavigny (le seign. de) est envoyé à Metz pour commander pendant la maladie de M. de Vieilleville, et bientôt rappelé pour sa mauvaise conduite, XXVII, 305. La porte de la chambre du Roi lui est refusée, 309.

Chavigny (le sieur de) est nommé tuteur du jeune vicomte de Turenne, XXXV, 55.

Chavigny (le seign. de) fait imprimer un livre intitulé les Pléiades, dans lequel il promet au Roi la monarchie du monde, XLVII, 388.

Chazeron (le sieur de) commande l’avant-garde de l’armée royale à la bataille d’Issoire, XL, 47.

Chazeul et Dubourg, gentilshommes lyonnais, sont accusés, dans un billet semé dans les appartemens du Roi, de vouloir attenter aux jours de S. M. Le Roi leur