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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/144

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Chastre (le baron de La), fils du maréchal de ce nom, est fait prisonnier à Yvetot, XXXVI, 210. XLVI, 252.

Châteaubriant (la comtesse de), maîtresse de François I, prend une grande part aux affaires, XVII, 24. Fait rappeler de Milan le connétable de Bourbon pour y envoyer son frère Lautrec ; est flattée des vœux que le connétable lui adresse, 25. Obtient pour son frère Thomas de Lescun le bâton de maréchal laissé par Trivulce, 38. Se joint à Louise de Savoie pour pousser le Roi à la guerre, 43. Perd la faveur de ce prince ; comment elle supporte sa disgrâce ; sa fermeté en lui renvoyant des bijoux qu’il lui redemande, 91. Ses longs chagrins ; sa mort ; son épitaphe par Marot, 92.

Châteaugaillard (le capitaine), du parti de la Ligue, est fait prisonnier dans une rencontre, XLIII, 341.

Châteaumorant est envoyé avec le seign. de Vergy auprès de Bajazet pour lui faire de riches présens, et payer la rançon du comte de Nevers et de ses compagnons d’armes, VI, 475. Est chargé par Boucicaut de la garde de Constantinople, 497. Préserve cette ville de la famine, 498. Attaque des troupes de Bajazet, 503. Entre de force dans le port de Lescandelour, et contribue à la prise de cette place, VII, 42. Commande un corps de bataille contre les Sarrasins de Tripoli, 54. Se rend maître d’un vaisseau sarrasin, 58. Se distingue au combat naval livré près de Modon, 79. Est fait prisonnier, 82. Conduit à Venise avec les autres prisonniers, console ses compagnons d’infortune, 83.

Châteauneuf (le seign. de) accepte un combat de 20 contre 20, proposé par Boucicaut ; le refuse ensuite, VI, 418.

Châteauneuf (Michel de Rieux, seign. de), tue son oncle et son tuteur à raison d’un procès pour sa tutèle, XLV, 186.

Châteauneuf (mademoiselle de) est donnée pour maîtresse au jeune vicomte de Turenne par le maréchal d’Amville ; note historique sur cette demoiselle, XXXV, 64. (Mém. de Bouillon.) — Elle tue son mari Antinotti, qu’elle a surpris infidèle, XLV, 157.(L’Estoile.)

Château-Pers (Franç. Hurault, sieur de), est blessé dans une rencontre près d’Orléans ; meurt de ses blessures, XXXVI, 151.

Châteigneraye (de La), jeune gentilhomme comblé des faveurs de Henri II, se bat en duel contre Jarnac, beau-frère de la duchesse d’Étampes ; est vaincu, et meurt dans des accès de rage et de désespoir, XX, 41 ; XXVI, 198.

Chatel (Pierre Du), savant célèbre, est donné pour précepteur à François I, XVII, 13.

Chatelard (le seign. de) est tué à la prise de Verceil, XXIX, 257.

Châtillon (Gaucher de), l’un des plus braves chevaliers, est tué à Casal en défendant presque seul la rue où étoit logé Louis IX. II, 111.

Châtillon (J. de) demande et reçoit le commandement de l’arrière-garde, II, 251.

Châtillon (le seign. de), prevôt de Paris, chargé de veiller à la sûreté du concile de Pise, est blessé dans une émeute, en voulant rétablir l’ordre dans cette ville, XV, 110. (Tabl. du règn. de Louis XII.) — Est blessé au premier assaut livré à la ville de Ravennes, XVI, 27. (Mém. de Bayard.)

Châtillon (Henri, comte de), fils de François de Coligny, est tué à la fleur de l’âge au siége d’Ostende, XLVII, 320.

Châtillon, fils de l’amiral de Coligny, contribue principalement à la prise de la ville de Chartres par Henri IV, XXXVI, 190. (Mém. de Cheverny.) — Refuse de traiter avec le roi Henri III, après la déroute des reîtres qu’il a accompagnés en France ; opère courageusement sa retraite à Aubenas, où il se rafraîchit après avoir fait en quatre mois une partie du circuit de la France, XXXVIII,