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Accompagne son frère, 150. (Tabl. du règ. de saint Louis.) — Se croise avec le Roi, 203. Arrive en Égypte avec l’arrière-ban, et donne par sa présence une grande joie à l’armée, 226. Est chargé avec Joinville de la garde du camp du côté de Damiette, et tous deux repoussent vigoureusement les Sarrasins qui viennent les attaquer, 234. Est pris un moment par les Turcs, et délivré peu après, 264. Va secourir et ramener ceux de l’arrière-garde, qui sont assaillis par les Turcs, 273. Reste prisonnier jusqu’à ce que le Roi ait payé 100,000 liv. aux émirs, 305. Est délivré, et rejoint le Roi, 308. (Mém. de Joinville.)

Alphonse, roi de Castille, est appelé à l’empire après la mort de Conrad, II, 120.

Alphonse, roi d’Arragon, se lie avec don Pèdre, roi de Castille, pour défendre sa couronne contre les armées de Philippe-le-Hardi, IV, 55.

Alphonse v, roi de Portugal, vient en France demander du secours à Louis xi, qui diffère toujours de lui en donner, XII, 230. Va trouver le duc de Bourgogne dans l’espoir de pacifier le différend du Roi avec ce prince, 231. Revient à Paris sans avoir pu y réussir ; s’enfuit déguisé ; est arrêté sur la côte de Normandie, et conduit en Portugal par un vaisseau du Roi, 232. Y meurt peu après son arrivée, 233.

Alphonse, roi de Naples, lève deux armées pour les opposer au roi Charles viii ; par qui elles sont commandées, XIII, 29. Ses cruautés ; remet la couronne à son fils Ferdinand, 58. S’enfuit en Sicile, 64. Se retire dans un monastère, où il fait pénitence et meurt bientôt après, 66. (Mém. de Comines.) — Charge son frère Frédéric d’attaquer le Milanais par la côte de Gênes, et Ferdinand son fils par la Romagne, XIV, 216. Redoutant la haine de ses sujets, à l’approche des Français, abdique en faveur de son fils Ferdinand, et va se renfermer dans un monastère de Sicile, 226. (Tabl. du règ. de Ch. viii.) Discours qu’il tient au pape Alexandre vi, vers lequel il s’est retiré en apprenant la marche des Français en Italie, 410. (Panég. du Chev. sans repr.)

Alphonse i, duc de Ferrare, bat les Vénitiens sur les bords du Pô, XV, 283. Attaque leurs galères, en coule deux à fond et en prend six, 284. Envoie au secours de La Mirandole de l’artillerie et des troupes, 344. Gagne Augustin Guerlo, que le pape Jules lui a envoyé pour le détacher des Français, 363. Sur les instances de Bayard, renonce au projet de faire empoisonner le Souverain Pontife, 366. (Mém. de Bayard.) — Son habileté à fondre l’artillerie, XVI, 205. (Mém. de Fleurange.)

Alphonse d’Est, duc de Ferrare, laisse en mourant ses États à César d’Est, fils naturel de son oncle, XXXVI, 359.

Altemps, colonel des lansquenets, est fait prisonnier à Gatinare, XXX, 18.

Altoconte, gouverneur de Lucignano, rend lâchement cette place aux Impériaux, XXIX, 298.

Alviane (Barthélémy d’), lieutenant général de l’armée vénitienne, est fait prisonnier à la bataille d’Agnadel, XIV, 458. (Panég. du Chev. sans repr.) — Triomphe que les Vénitiens lui décernent à la manière des Romains, XV, 78. (Tabl. du règ. de Louis xii.) — Contre l’exprès commandement du sénat de ne point livrer bataille à Louis xii, veut essayer sa fortune, et engage le combat d’Agnadel, où il est fait prisonnier, XV, 270. Poursuit les Suisses l’épée dans les reins jusqu’à Milan, XVI, 102. (Mém. de Bayard.) — Est blessé à la bataille d’Agnadel, et envoyé à Loches, 175. Arrive après la bataille de Marignan au camp du Roi, amenant avec lui une armée de Vénitiens, 299. (Mém. de Fleurange.) XVII, 266. Sa mort, 271. (Mém. de Dubellay.)

Amandelis (Gratien d’), guidon du seigneur de Sedan, est blessé à mort au siége de Ravennes, XVI, 213.