Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/158

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Pourquoi les secours qu’il demande à messieurs de Nevers et de Bourdillon ne peuvent entrer dans la place, 79. Moyens qu’il emploie pour forcer les habitans à travailler aux fortifications, 82. Noms des capitaines qui défendent les brèches de S.-Quentin, 91. Comment la ville est prise et l’amiral fait prisonnier, 94. Noms des capitaines qui sont tués ou prisonniers, 97. (Comment. de Rabutin.) — Naissance de Coligny ; ses deux frères, 409. À 22 ans il quitte les études sérieuses, et paroît à la cour de François I ; se lie avec le duc de Guise ; est blessé au siége de Montmédy et à celui de Bains ; est armé chevalier par le comte d’Enghien sur le champ de bataille de Cerisolles ; sert en Champagne sous le Dauphin ; introduit la discipline parmi l’infanterie, 410. En est nommé colonel général ; est fait amiral, 411. Dispute au duc de Guise l’honneur de la victoire de Renti ; embrasse la réforme, 412. Défend la ville de S.-Quentin, 413. Est fait prisonnier, et renfermé au château de L’Écluse ; essaie de former des colonies de protestans dans le Nouveau-Monde ; se met avec ses frères à la tête des sectaires, 414. Périt à 55 ans dans la matinée de la S.-Barthelemy ; la relation du siége de S.-Quentin est la seule production qui nous reste de lui ; qualités qu’on y remarque ; époque où elle parut, 415. Il composa des Mémoires qui furent brûlés, 416. (Notice.) — Motifs qui ont porté l’amiral à écrire la relation du siége de S.-Quentin, 417. Il part de Pierrepont, et d’après l’ordre du connétable se met en chemin pour se rendre dans cette ville, 419. Noms des capitaines qui l’accompagnent, 420. Détails sur sa marche, 421. Il entre à une heure du matin dans la place, 424. Prend des mesures pour la défense du faubourg d’Isle, 425 ; pour celle de la ville, pour l’approvisionnement et les munitions, 427. Fait couper une grande quantité d’arbres qui bordent les fossés, 429. Fait faire en grande diligence une tranchée au faubourg d’Isle, 431. Fait faire dans la ville une recherche exacte des vivres, et en trouve pour trois mois, 435. Comment il fait remparer une brèche causée par le feu des poudres, 437. Soins qu’il donne aux travaux, au bon ordre et à la propreté de la ville, 439. Moyens sévères qu’il emploie pour faire travailler aux réparations les gens des villages qui se sont retirés dans la ville, 440. Peines et difficultés qu’il éprouve pour y faire entrer des secours et pour la garantir des attaques de l’ennemi, 443. Il reçoit enfin des secours, et surtout son frère d’Andelot, 446. Découragement dans la ville à la nouvelle de la perte de la bataille de S.-Quentin, 447. Comment l’amiral est secondé par son frère, 448. Ses efforts pour soutenir le courage de la garnison, 455. Fait arrêter le feu qui s’est mis à plusieurs maisons, 457. Son entretien avec son frère d’Andelot et le seigneur de S.-Remy, sur sa résolution à défendre la place, 460. Nombre des compagnies qui la défendent, 462. Noms des capitaines présens, 463. Enveloppé d’ennemis, l’amiral se rend à un Espagnol, 465. Est conduit dans la tente du duc de Savoie, 466. (Siége de S.-Quentin.) — Conseils que donne l’amiral à Catherine de Médicis, après la découverte de la conjuration d’Amboise, XXXIII, 58. Présente une requête au nom des protestans dans le grand conseil des princes, 100. Se rend à Orléans, 172. Est forcé à la retraite à la bataille de Dreux, 247. Veut retourner au combat le lendemain, mais les reîtres s’y opposent et se retirent à Gallardon, 250. Est élu chef de l’armée des huguenots, en l’absence du prince de Condé ; se porte dans le Berri, où il prend plusieurs villes, 253. Revient dans l’Orléanais ; se rend maître de Jargeau et de Sully ; prend la résolution de passer en Normandie, 256. Écrit à l’empereur Ferdinand et aux princes d’Allemagne pour détourner l’effet des lettres que