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gouverneur du château de Valsimont, est fait prisonnier par le duc de Nevers, XXXI, 248.

Coligny (Gaspard de), seign. de Châtillon, est envoyé avec 200 hommes d’armes pour prendre possession de la ville de Tournay, XVII, 282. Comment il y est reçu, 283. Est blessé à un assaut livré à la ville de Bains, XIX, 434. (Mém. de Du Bellay.) — Entreprend le siége de Hesdin ; est fait amiral, XX, 55. Fortifie Saint-Quentin, retarde la prise de cette ville ; est contraint à se rendre prisonnier, 71. Devient, avec ses deux frères d’Andelot et le cardinal de Châtillon, un des principaux chefs du parti mécontent, 86. Il suit la cour à Amboise dans l’espoir d’aider les conjurés, 88. Demande, à l’assemblée des notables tenue à Fontainebleau, la liberté pour les protestans d’avoir des temples publics, et que la garde du Roi soit licenciée, 91. Est forcé de prendre la fuite à la bataille de Dreux, 110. Après la bataille de Jarnac se retire à Cognac, et devient chef unique des protestans, 134. Prie Jeanne d’Albret de lui amener le jeune prince de Navarre, 135. Assiége Poitiers, 136. Livre malgré lui la bataille de Montcontour, la perd, et se retire en Gascogne, 137. Est déclaré criminel de lèse-majesté par le parlement de Paris, 138. Se fait goûter du Roi, 143. Le presse vivement de faire la guerre en Flandre ; conçoit la haine la plus violente contre Tavannes, qui s’oppose à ce projet ; sa rencontre avec lui, 146. Paroît faire chaque jour des progrès dans l’intimité du Roi, 147. S’éloigne plein de confiance de la cour ; y revient avec la même sécurité, 148. Conseille au Roi de lever les obstacles que la cour de Rome apporte au mariage du roi de Navarre avec Marguerite de Valois, 149. Ses paroles dans l’église de Notre-Dame, rapportées par de Thou ; se fie entièrement à la sincérité du Roi, 150. Est assassiné en sortant du Louvre, 151. Est assailli dans sa maison, au milieu de la nuit ; son courage tranquille étonne ses assassins ; sa mort, 157. (Introd.) — Il manque de prendre Douay ; pille Linx en Artois, XXIV, 200. Se met à la tête des mécontens, et s’appuie des ministres huguenots, 261. Secondé de la Reine mère, il présente à l’assemblée des notables la requête des huguenots, 284. Est élu chef de l’armée protestante après la bataille de Dreux ; se retire vers Orléans, 379. Essaie d’enlever le Roi à Meaux, 459. Est défait à la bataille de Jarnac, XXV, 42. Veut aller au devant du duc de Deux-Ponts ; en est empêché par M. d’Alençon, 90. Assiège Poitiers, 107. Fautes qu’il commet à la bataille de Montcontour, 143. Y est blessé, 145. Va joindre Montgommery en Gascogne, 148. Désire la paix, et l’obtient ; se retire à La Rochelle avec les princes, 150. Vient à la cour, où il décide le Roi à faire la guerre à l’Espagne ; fait faire un embarquement de 6,000 hommes, 199. Se rapproche des Montmorency, 200. Veut tuer Gaspard de Tavannes, 257. Soutient dans le conseil sa proposition de la guerre à l’Espagne ; conseille au Roi de limiter le pouvoir de la Reine ; propose d’envoyer le duc d’Anjou en Pologne, 290. Est assassiné par Morver ou Maurevel, 293 ; et tué au massacre de la S.-Barthelemy, 297. Son corps est pendu à Montfaucon, 300. (Mém. de Tavannes.) — Est nommé amiral à la place du sieur d’Annebaut, et chargé d’aller reprendre Hesdin, XXXI, 159. Encourage les soldats à l’assaut de Dinant, et monte le premier à la brèche, 258. Est envoyé à Bruxelles auprès de Philippe II et de l’Empereur son père, 420. Pourquoi il manque de s’emparer de Douay, 439. Entre dans Lens, qu’il pille et saccage, 440. D’après les ordres du connétable va se jeter dans Saint-Quentin, XXXII, 18. Ses dispositions pour la défense de cette place, 24. Détails sur le siége qu’il y soutient, 31. Difficultés qu’il éprouve après la bataille de S.-Quentin, 74.