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David, bâtard de Bourgogne, est élu évêque d’Utrecht, X, 218.

David (Jean). Ses Mémoires, qui tendent à prouver que la maison de Lorraine a de justes prétentions à la couronne de France, sont imprimés par les protestans après sa mort, XLV, 144.

David, bachelier en théologie, vient supplier la Reine de lui faire justice de l’évêque de Paris, XLIX, 181.

Déageant, secrétaire du Roi, devient un des principaux confidens de M. de Luynes, L, 383.

Debar, du parti bourguignon, sauve Juvénal des Ursins et sa famille, VI, 338.

Decluseaux, commandant de Noyon pour la Ligue, fait sa soumission au Roi, et lui remet cette ville, XLII, 328.

Décrétales ; ce que c’étoit ; sur quels principes elles reposoient, II, 60. L’état où se trouvoit l’Europe les rendit en quelque sorte nécessaires ; elles sauvèrent la société, 61. Opinion de Hume et de M. Ancillon à ce sujet, 62.

Decroze, gentilhomme protestant, est pendu à Rouen après la prise de cette ville, XXXIV, 162.

Del-Camp (le seign. Stephe), favori de don Fernand de Gonzague, est tué près de Brignoles en Provence, XIX, 64.

Delgi (Guill.), chevalier croisé, tué dans une sortie, I, 210.

Démétrius, second fils de Théodore d’Épire, succède à son frère Jean, mort peu de temps après son père ; se plonge dans la débauche ; est livré à Vatace par le peuple de Thessalonique, et relégué dans une forteresse, I, 503.

Démétrius, fils du marquis de Montferrat et de Marguerite de Hongrie, est mis par le Pape sous la garde de Guill. de Montferrat son frère aîné, I, 462. Gouverne avec sa mère le royaume de Thessalonique ; reçoit des secours du Pape contre le despote d’Épire, 471. Part avec son frère Guill. de Montferrat pour secourir l’emper. Robert ; ne peut suivre les projets de Guillaume, qui meurt en chemin, et revient presque seul auprès de sa mère ; sa mort, 576.

Démétrius, grand duc de Moscovie, est cruellement tué par ses sujets, XLVIII, 25.

Demiselle, femme de mauvaise vie d’Arras, est arrêtée comme vaudoise, XI, 62. Est mise à la torture, dénonce un nommé Jean Levitte, vaudois comme elle ; Levitte désigne un grand nombre de complices, 64. Détails sur la vauderie et sur le procès des vaudois, 66. Les accusés avouent les crimes qu’on leur impute ; tous sont condamnés à être brûlés, 71. Au moment de l’exécution, tous protestent de leur innocence, et disent que c’est la torture qui leur a arraché leurs déclarations ; tous meurent en bons chrétiens, 72.

Denbigh (le comte de), beau-frère du duc de Buckingham, conduit une flotte anglaise devant La Rochelle, LI, 96. S’en retourne sans avoir rien pu faire pour les Rochellois, 98.

Deniset, de Chaumont, conduit avec Caboche les bandes de Paris aux ordres du duc de Bourgogne, VII, 257.

Derby (le comte de) remporte de grands avantages sur les troupes françaises dans la Guyenne, IV, 107.

Derby (le comte de), depuis roi d’Angleterre sous le nom de Henri, joûte avec Boucicaut entre Boulogne et Calais, VI, 430.

Dermenonville (P. L’Orfèvre, seign.), livre pour argent la place de Pont-Saint-Maixance aux Bourguignons, XIII, 273.

Desavenelles, bourgeois de Blois, dépositaire du secret de La Renaudie, va le confier à un secrétaire du cardinal de Lorraine, XX, 88 ; XXVII, 426 ; XXXIII, 48.

Desbarreaux (le sieur), trésorier de France, est envoyé à Orléans auprès du sieur d’Antragues pour le