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Dreux (de), archidiacre de Paris, harangue Henri IV à la cathédrale le jour de son entrée à Paris, XX, 176 ; XLII, 198.

Dreux de Struen, tué au siége de Corinthe, I, 336.

Dreux (le comte de), neveu du comte d’Essex, est tué devant Rouen, XL, 353.

Dreux (la ville de) est assiégée et prise par Henri IV ; détails à ce sujet ; reproches que se font les ducs de Mayenne et de Féria sur cet événement, XLVI, 487.

Dreux (bataille de), livrée en 1562 entre les catholiques et les protestans ; le connétable de Montmorency y est fait prisonnier, ainsi que le prince de Condé ; le duc de Guise reste vainqueur, XXVIII, 61. (Mém. de Vieilleville.) XXXIII, 240 et suiv. Noms des seigneurs qui y furent blessés ou tués ; nombre des morts, 249. (Castelnau.) XXXIV, 49 et suiv., 172 et suiv.

Dros (le capit. Ch. de), piémontais, forcé de rendre Montdevi au marquis Du Guast, se retire à Roque-de-Bau, qu’il répare et fortifie, XIX, 479. (Mém. de Du Bellay.) XX, 436. — Est tué à la bataille de Cerisolles, 437. (Mém. de Montluc.)

Dubois (Jean), jeune chevalier, fait serment de porter l’étendard de Duguesclin sur la tour de Bressière, V, 104. Tient sa promesse, 105.

Dubois (J.), seign. de Hannequin, est blessé au siége de Schendelbeke, X, 136.

Dubois (Jacq.), docteur en théologie et doyen de Notre-Dame d’Arras, interroge les vaudois, X, 63. Est d’avis qu’ils soient brûlés, 67. Tombe malade, et perd la raison ; sa maladie est regardée par quelques-uns comme une punition de Dieu ; sa mort, 91.

Dubois (l’abbé), de l’ordre de Cîteaux, prêche à S.-Eustache avec beaucoup de violence contre les jésuites ; le jacobin Anselme Cochu prêche de même à S.-Gervais, XLIX, 42. L’abbé Dubois traite les jésuites plus doucement que de coutume ; on l’accuse d’avoir chanté la palinodie ; ce dont il se défend, 62.

Dubois (le capit.), du parti de la Ligue, surprend Selles en Berri, et l’enlève au parti du Roi, XL, 350.

Durouchage (le seign.) est envoyé en Roussillon avec des instructions doubles, les unes publiques, les autres secrètes, XII, 183 et suiv. Correspondance entre lui et le Roi, 186. Est envoyé auprès du roi de Castille pour traiter de la paix ; conclut une trève de deux mois, XIII, 214.

Dubourg (Anne), conseiller au parlement de Paris, poussant jusqu’au fanatisme son enthousiasme pour les nouvelles doctrines, est arrêté par ordre du Roi, XX, 83. Quelques détails sur son procès ; il périt sur l’échafaud avec intrépidité, 87. XXXIII, 27.

Dubourg, gentilhomme du duc de Mayenne, reçoit le gouvernement de la Bastille, XLVI, 215. Rend la Bastille, et en sort avec l’écharpe noire ; refuse de reconnoître le Roi, et menace M. de Brissac, XLVII, 15 et 28.

Dubourg (Ant.) succède à Duprat dans la charge de chancelier ; est plus connu par son neveu Anne Dubourg, XVII, 130.

Dubreuil, peintre du Roi, meurt en moins de 24 heures de la colique appelée miserere, XLVII, 362.

Ducaurroi (Eustache), maître de musique de Charles IX, Henri III et Henri IV, est enterré dans l’église des Augustins ; son épitaphe faite par M. Formé son successeur, XLVIII, 304.

Duchatel (Jacq.), évêque de Soissons, se précipite seul au milieu des Turcs, et est tué par eux, II, 309.

Duchés, comtés ; ce qu’ils étoient au commencement de la monarchie ; comment ils ont été multipliés par l’autorité des rois, XXIV, 301 et suiv.

Duchesne est rompu en place de