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Bayard.) — Marche sur Bresse, s’en empare ; détails sur la prise de cette place et de son château, 211. Va faire le siége de Ravennes, 213. Décide qu’il faut livrer bataille aux Vénitiens, 214. Détails sur cette bataille ; noms de ceux qui y furent ou tués ou blessés, 215. (Fleurange.)

Gaston, troisième fils de Henri IV, naît à Fontainebleau le 25 avril 1608 ; il est appelé duc d’Anjou, XLVIII, 127. (Mém. de L’Estoile.) — Est inconsolable de la prison de M. d’Ornane ; fait ses plaintes au chancelier d’Aligre, LI, 9, et au cardinal de Richelieu, 10. Témoigne hautement son déplaisir de la prison de M. de Chalais ; consent à épouser madem. de Montpensier ; avantages que le Roi lui fait par ce mariage ; il prend le nom de duc d’Orléans, 21. Cérémonies du mariage, 22. Va au siége de La Rochelle ; sa passion pour la princesse Marie ; son mécontentement contre la Reine mère à cette occasion, 109. Contredit dans sa passion pour la princesse Marie, il se plaint de Richelieu, 159. Écoute les propositions qui lui sont faites pour sortir de la cour, 160. Se rend à Lyon auprès du Roi qui est malade, 169. Va trouver le cardinal pour lui déclarer qu’il renonce à son amitié ; s’en va à Orléans, 179. Refuse de revenir à la cour, 185. Se retire en Bourgogne, puis en Franche-Comté, 186. Est envoyé pour commander l’armée qui est sous les ordres de M. le comte de Soissons ; se raccommode avec lui, 260. Reçoit ordre de commencer le siége de Corbie, 262. Ses propos piquans à M. le marquis de Fontenay ; à quelle occasion, 263. Prend la résolution avec M. le comte de Soissons de tuer le cardinal de Richelieu ; change ensuite de dessein, 268. Se retire à Blois, 273. Raisons qui le déterminent à retourner à la cour, 275. (Fonten.-Mareuil.)

Gaucher, soldat de fortune, forme une entreprise sur Villefranche en Champagne ; échoue, et laisse 2 ou 300 des siens sur la place, XXXVI, 332 ; XLIII, 351.

Gaucher-Dinteville, seign. de Vaulay, est envoyé en Italie pour faire une levée de 10 à 12,000 hommes de pied, et de 600 chevaliers ; opère cette levée en quinze jours, XIX, 183.

Gaucherie (le sieur de La) est donné pour précepteur au prince de Navarre, depuis Henri IV, XXXIX, 246.

Gaucour (le seign. de), fait prisonnier par le comte de S.-Paul, est envoyé en Artois, puis délivré moyennant finances, VII, 255.

Gaucourt (le seign. de), lieutenant du Roi, est envoyé pour remettre le siége devant Perpignan, XIII, 435. Meurt à Paris, dont il étoit lieutenant pour le Roi, d’une maladie qui enlève plusieurs personnes de distinction, XIV, 102.

Gaultier de Curel conseille aux croisés, pour éviter le feu grégeois, de se jeter à terre sur les coudes et à genoux, et de crier merci à Dieu, II, 235.

Gaultier de La Horgne, porte-bannière du comte d’Aspremont, fait preuve de grande bravoure, II, 264.

Gaultier de Châtillon, envoyé par le Roi pour défendre les machines que les Sarrasins vouloient enlever, II, 256. Repousse vigoureusement l’ennemi, 261. Trait de sa bravoure ; sa mort, 308.

Gauric (Luc), célèbre mathématicien, fait une prédiction sur le règne de Henri II, XLV, 52.

Gaury (les comtes de), d’une des grandes familles d’Écosse, projettent d’assassiner le roi de ce pays pour venger leur père, décapité comme coupable du crime de lèse-majesté, XXXVI, 453. Comment ils échouent dans leur projet, 454. Leur punition, 455 ; XLVII, 289 et suiv.

Gauthier de S.-Denis manque aux promesses qu’il avoit faites aux chefs croisés, I, 132.