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çaise pour s’emparer de la Capitanate ; surprend Melfi et Troja, 53. Défait les Français à la bataille de Cerignoles, 57. (Tabl. du règ. de Louis XII.) — S’avance vers Grasse en Provence, et se retire sans combat, XIX, 12. Vient à Brignoles après la défaite des seign. de Montejean et de Boisy, 66. Vient mettre le siége devant Guise, qu’il abandonne pour se retirer devant Landrecies, 456. Éprouve un échec dans sa retraite, 457. Essaie d’inquiéter l’armée du Roi dans sa retraite sur Guise ; est repoussé avec perte, 474. (Du Bellay.) — Faussement accusé devant l’Empereur, se justifie et se retire des affaires, XXIV, 157. (Mém. de Tavannes.) — Fait arrêter, tuer et massacrer tous les soldats des bandes italiennes qui se rendent dans le Parmesan, XXVIII, 396. Vient à Alexandrie, et fait demander au maréchal de Brissac la délivrance des prisonniers hongrois et du capitaine Palvoisin, 455. Réponse qui lui est faite, 456. Prend la résolution de ravager le Piémont, 457. Attaque et prend Ville-de-Dia, 458. Comment il échoue dans ses autres entreprises, XXIX, 70. Reprend le fort de Bra, 132, Dronier, Versol, Saluces et Cardé, 133. Assiége Saint-Martin et l’emporte d’assaut, 147. Attaque la ville d’Albe, et est forcé de s’éloigner, 180. Lève le siége de S.-Damian le même jour que l’Empereur lève celui de Metz, 241. Signe une capitulation avec le maréchal de Brissac pour la liberté des prisonniers de guerre, 242. Texte de cette capitulation, 243. Prend la résolution de fortifier Valfenières, 252. Est révoqué du commandement de l’armée d’Italie, 281. (Du Villars.) — Aussitôt après le meurtre de Louis Farnèse, s’empare au nom de l’Empereur de la ville et du château de Plaisance, XXXI, 18. Ravage le territoire Parmesan avec J. B. del Monte, et assiége Parme et La Mirandole, 21. Est forcé de lever le siége pour retourner secourir le duché de Milan, 28. (Comm. de Rabutin.)

Gonteri (le père), jésuite, publie un livre intitulé la vraie Procédure pour terminer le différend en matière de religion, XLVIII, 36.

Gontier (le père), jésuite, apostrophe le Roi présent dans un de ses sermons, XLVII, 433. Prêche encore devant le Roi avec beaucoup de hardiesse, XLVIII, 348. Prêche au petit S.-Antoine contre l’arrêt qui a condamné le livre de Mariana à être brûlé, XLIX, 47. Réponse hardie qu’il fait au Roi, 80. Fait à S.-Étienne-du-Mont un sermon séditieux et scandaleux, 91. Autre sermon séditieux pour lequel il est réprimandé par M. le premier président, 198.

Gonzague (Vincent de), duc de Mantoux, se rend à Prague auprès de l’Empereur, XLIII, 188. Fait porter devant lui, dans un vase d’or, quelques gouttes du sang de J.-C., conservé à Mantoue ; arrive au camp de l’archiduc Matthias, 189. Entre avec lui dans Visgrade, 191. Est témoin à Prague de la réception faite par l’Empereur aux ambassadeurs de Moscovie, 193.

Gonzagues (le seign. Ch. de) est fait prisonnier à la bataille de Cerisolles, XXI, 37.

Gonzagues (Scipion de), cordelier de la case mantouane, est nommé général de son ordre dans un chapitre général des cordeliers tenu à Paris, XLV, 188.

Gordes (le capit.), chargé d’attaquer Cairas, se voit forcé de s’éloigner de cette place, XXVIII, 424. Taille en pièces 80 chevaux et 60 arquebusiers espagnols, 452.

Gosselin, gardien de la librairie du Roi, meurt à l’âge de près de cent ans, brûlé auprès de son feu, XLVII, 478.

Gouard, ex-ambassadeur à Rome, demande une conférence avec le légat pour traiter de la paix ; rapporte au roi de Navarre la condition de se faire catholique, XLVI, 53.

Gourdan (le capit.) a la jambe