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peuple à une fenêtre, XXIV, 283. (Mém. de Tavannes.) — Assiége Passerant dans le Piémont et s’en rend maître, XXIX, 58. Est blâmé par le maréchal de Brissac d’avoir entrepris d’attirer les ennemis dans Villeneuve d’Ast, dont il étoit gouverneur, 115. Se rend maître de Tone, 126, et de la ville d’Albe, 149. Est blessé dans un combat livré près d’Ast, 344. Entre dans Casal, 352. Repousse les Impériaux qui viennent reconnoître la place de Montcalve, XXX, 239. Promet au Roi de la défendre jusqu’à la mort, 240. Dresse une embuscade aux ennemis près de Casal, 260. (Du Villars.) — Poursuit les protestans révoltés du Dauphiné, commandés par Mouvans et Montbrun, et les force à se retirer de France, XXXIII, 107. Est tué par les protestans, 181. (Mém. de Castelnau.)

Gondy, seigneur du Peron, banquier florentin de Lyon, épouse une Italienne qui passe au service de Cath. de Médicis ; élévation et fortune de sa famille, XLV, 95. Meurt à l’âge de 80 ans ; est enterré aux Augustins de Paris, laissant 400,000 écus, 199.

Gondy (le cardinal de), évêque de Paris, sort de cette ville avec ses grands vicaires, et va à Fontainebleau reconnoître Henri IV, XX, 272. (Introduc.) — Est envoyé par les Parisiens pour traiter d’un accommodement avec le Roi, XXXVI, 161. (Mém. de Cheverny.) — Cherche tous les moyens de réconcilier les ligueurs et les royalistes, XL, 102. Est envoyé vers le Roi avec l’archev. de Lyon, pour traiter de paix, 106. Détails sur leur conférence avec S. M., 107. Ils vont trouver à Meaux le duc de Mayenne, qui les trompe, 115. Le cardinal est envoyé à Rome par le Roi ; avec quelle peine il fait ce voyage, XLI, 170. Comment il parvient à obtenir audience du Pape, 172. (Castelnau.) — Obtient de Henri III la permission de prendre pour coadjuteur le docteur Saint-Germain, XLV, 258. Il revient de Rome après avoir obtenu pour le Roi l’aliénation de 100,000 écus de rente ; vers faits à cette occasion, 311. Est chargé avec l’archevêque de Lyon, par une assemblée générale tenue en la salle S.-Louis, d’aller vers le roi de Navarre proposer quelques moyens d’accommodement, et vers le duc de Mayenne pour le même objet, XLVI, 71. Demande au Roi un passe-port pour aller à S.-Denis communiquer avec lui, 88. Se rend avec l’archev. de Lyon à S.-Antoine-des-Champs, où est le Roi ; détails sur leur entrevue, 89. Est dispensé par un bref du Pape de jurer l’union pour le présent, 183. Sort de Paris dans la crainte des Seize, qui se défient de lui, 184. Est député à Rome par le Roi, pour lui témoigner l’intention où est S. M. de se faire instruire, 272. Est bien reçu du duc de Toscane ; il lui est défendu par le Pape d’entrer dans les terres de l’Église ; pourquoi ; réponse qu’il fait à cette défense, 286. Bruits à Paris sur l’accueil qui lui est fait, 308. (L’Estoile.)

Gondy (le sieur de), chevalier d’honneur de Marie de Médicis, loge chez lui le Roi et la Reine à leur arrivée à Paris, XXXVI, 492.

Gondy (Ch. de), seign. de La Tour, meurt de chagrin d’avoir été privé des meubles et accoutremens du feu Roi, qu’il devoit avoir en sa qualité de maître de la garde-robe ; origine et élévation de sa famille, XLV, 95.

Gonsalès de Cordoua (don), gouverneur de Milan, va, par ordre de sa cour, assiéger Casal, LI, 91.

Gonsalve de Cordoue (don Fernand de), à la tête d’une armée espagnole, débarque à Reggio avec le jeune roi Ferdinand ; est battu par les Français, que commande d’Aubigny, XIV, 250. (Notice.) — Assiége Tarente, qui se rend par composition ; fait partir contre la foi donnée le fils aîné du roi de Naples pour l’Espagne, XV, 47. Profite des divisions élevées dans l’armée fran-