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der, comme il l’avoit promis, le duché de Normandie à son fils aîné Robert, 28. Est enfin obligé de remplir sa promesse ; meurt en faisant la guerre contre le roi de France, 29.

Guillaume-le-Roux, second fils de Guillaume-le-Bâtard : son caractère ; succède à son père ; s’empare de la Normandie en l’absence de son frère Robert ; veut envahir la France, IV, 29. Est tué à la chasse, 30.

Guillermé (le capit.), du parti de la Ligue, est blessé lors de la réduction de Beaune, et meurt de sa blessure, XLIII, 24.

Guillery. Les fameux voleurs de ce nom sont pris par M. Parabelle, gouverneur de Niort, et rompus vifs, XLVIII, 171.

Guillet, receveur pour le Roi en Brouage, est pendu par ordre de la reine de Navarre, XXII, 233.

Guillon, contrôleur, meurt à l’âge de 80 ans, laissant de grands biens, XLVIII, 172.

Guillon (le substitut), s’étant présenté pour être reçu conseiller, est renvoyé par insuffisance, XLVIII, 37. Est reçu quelque temps après, 154.

Guillotière (La), excellent cosmographe, meurt sans biens ; son talent pour les cartes, XLVII, 94.

Guion d’Ebelin, connétable de Chypre, est envoyé de la part des prisonniers chrétiens auprès du Roi pour connoître le traité qui venoit d’être conclu avec le Souldan, est conduit dans une galère avec d’autres seigneurs pour être conduit à Damiette, II, 289. Se confesse à Joinville, 296.

Guion, frère de Guillaume, comte de Flandre, se croise avec le Roi, II, 203. Se distingue à la bataille de la Massoure, 253.

Guionvelle (le sieur), chef de protestans, s’empare de Verdun dans l’absence du commandant de la place ; défait le comte de Crusille, XXXV, 366. (Mém. de Tavannes.) — Enlève le sieur de Brion dans sa maison, et y met tout au pillage, XL, 211. (Mém. de Cayet.)

Guise (le comte de), plus connu sous le nom de duc de Nemours, est tué à Cerisolles, XIV, 444.

Guise (Claude de Lorraine, seign. de), contribue à la déroute des Suisses à la bataille de Marignan, XVI, 100. (Mém. de Bayard.) — Ses richesses, son ambition, XVII, 161. Prédiction de François I à son sujet, 162. (Introd.) — Épouse à Paris Antoinette de Bourbon, sœur de Charles, comte de Vendôme, 232. Passe la rivière de Behaubie, et met les Espagnols en fuite, 322. Attaque les Anglais dans un jardin, et les défait tous, 397. Rassemble des troupes en Champagne, 431. Se met à la poursuite des lansquenets, 432. Taille en pièces leur arrière-garde, 433. Avec 6,000 hommes défait et taille en pièces, près de Savernes, 15,000 paysans soulevés par Muncer, XVIII, 6. Comment il fait entrer de la poudre dans la ville de Peronne, assiégée par le comte de Nassau, XIX, 171. Reprend Montmédy, 376. (Du Bellay.) — Est rappelé à la cour, XX, 38. Sacrifie tout à l’élévation de son fils aîné, 39. (Introd.) — Obtient le gouvernement de Bourgogne ; marie sa fille aînée au comte d’Aumale, XXIII, 409 ; son fils aîné à la fille du duc de Ferrare, 410. (Mém. de Tavannes.)

Guise (François, duc de), est envoyé en Guyenne avec Anne de Montmorency pour apaiser la révolte qui s’y est élevée, XX, 45. Montre quelques sentimens d’humanité envers les rebelles qu’on punit cruellement, 46. À la mort de son père prend le titre de duc de Guise ; son dévoûment à la duchesse de Valentinois ; ses plans ambitieux ; il fait ôter les sceaux au chancel. Olivier, et le fait remplacer par Bertrandi, 47. Est chargé de défendre Metz, 53. Fortifie cette ville ; y établit une police admirable, 54. Sa réponse à don Louis d’Avila, général de l’armée impériale, qui lui fait redemander un de ses esclaves réfugié dans Metz, 55. Il harcelle l’armée de l’Empereur, qui se retire