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près de Thionville, et lui fait un grand nombre de prisonniers ; soins généreux qu’il prend des ennemis malades ou mourans ; il donne aux catholiques une preuve de l’ardeur qu’il mettra à défendre leur cause, 57. Part pour l’Italie, laissant au cardinal son frère le soin des intérêts de sa maison, 70. Se croyant trahi par le cardinal Caraffe, il s’oublie jusqu’à le frapper ; rappelé en France, il se hâte d’y venir prendre la première place du royaume, 74. Propose dans le conseil du Roi de faire le siége de Calais, 75. S’empare de deux forts de cette place ; se rend maître de la ville par capitulation, et y établit une colonie toute française, 76. Fait conclure le mariage de sa nièce Marie Stuart avec le Dauphin ; assiége Thionville, 77, qui se rend comme Calais, et d’où l’on fait sortir toute la population, 78. Il porte les défis les plus violens à l’amiral de Coligny dans l’assemblée des notables tenue à Fontainebleau, 92. Retiré à Joinville, il est rappelé par le connétable et le roi de Navarre, 101. Est blessé à Vassy en se rendant à Paris ; le massacre qui a lieu dans cet endroit devient le signal de la guerre civile, 102. Le duc est reçu à Paris aux acclamations du peuple, 103. Ramène les catholiques au combat, et gagne la victoire à la bataille de Dreux ; use noblement de la victoire ; traite le prince de Condé son prisonnier comme un ami malheureux, 110. Propose de faire le siége d’Orléans ; marche sur cette ville ; s’empare des ouvrages extérieurs de la place ; est assassiné, 112. (Introd.) — Fait le siége de Thionville ; détails sur ce siége et sur la conduite du duc, XXI, 428 et suiv. Fait assiéger Arlon, qui est prise, 462. Demande au Roi de l’argent pour faire de la vaisselle à Montluc, 471. (Comm. de Montluc.) — Est envoyé en Italie par Henri II, XXIV, 186. Arrive à Turin, 188. Prend Palvoisi, marche vers Rome ; n’ose s’engager dans le royaume de Naples ; frappe le marquis Antoine Caraffe avec un plat d’argent, 189. Offre la bataille au duc d’Albe, qui la refuse ; avertit le Roi des pourparlers de paix du Pape avec le roi d’Espagne, 190. Permet un duel entre un Français et un Italien, 191. S’embarque à Ostie avec une partie de ses forces pour revenir en France, 203. Obtient par la faveur de la duchesse de Valentinois la lieutenance générale, 212. Projette une entreprise contre Calais, 214. L’exécute après s’être rendu maître des forts de Nieulay et de Richeban, 215. Investit Thionville, qui se rend par capitulation, 222. Est mis en grand crédit par François II, 256. Révoque le cardinal de Tournon ; rétablit le chancel. Olivier ; gagne les maréchaux S.-André et Brissac ; fait éloigner les princes du sang en leur donnant des commissions ; érige des chambres ardentes contre les huguenots ; fait sacrer le Roi à Reims, exécute les articles du traité de paix, 258. Reproches faits aux Guise, 259. Ils conseillent au Roi d’assembler les États, 288. Se proposent de faire faire le procès au prince de Condé ; promettent au Pape et au roi d’Espagne de chasser les huguenots du royaume, 291. Tout le pouvoir tombe dans les mains du duc ; par politique il se retire de la cour, laissant en apparence le maniement des affaires au roi de Navarre et au connétable, 325. Instruit des projets du prince de Condé, revient à Paris, d’où il chasse les Châtillon ; massacre de Vassy, 326. Fait un accord avec le prince de Condé près de Fontainebleau ; amène le Roi à Paris, 327. Essaie de gagner la Reine mère ; conférence de Beaugency, 333. Fait le siége de Bourges, qui se rend par composition ; et de Rouen, qu’il emporte d’assaut, 375. Gagne la bataille de Dreux, 379. Assiége Orléans ; est assassiné par Poltrot, 393. (Mém. de Tavannes.) — Il fait canonner le camp du marq. Albert de Brandebourg, et l’oblige à s’éloigner de Metz, XXVII, 98. Fait prêter