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Montereau ; devient l’objet de l’exécration des Parisiens, 336. Sort de son palais déguisé en paysan ; est livré et jeté en prison, 338. Sa mort, 341. (Tab. du règn. de Ch. vi.) — Mène le Roi devant Senlis ; assiége cette ville, VII, 291. Est forcé de le lever, 292. Est mis en prison, 294. Y est tué, 299. (Mém. de Fenin.)

Armagnac (Bern. d’), comte de La Marche, est nommé gouverneur du dauphin Louis, fils de Charles vii, XI, 152.

Armagnac (le comte d’), fils du connétable d’Armagnac, retenu prisonnier aux Cordeliers de Rhodez par sa mère et le maréchal de Severac, parvient à faire informer le seigneur d’Arpajon des causes de sa captivité, VIII, 115.

Armagnac (Jean, comte d’), petit-fils du connétable de ce nom, entre dans la ligue dite du Bien public, X, 235. (Mém. de La Marche.) — Cherche à se rendre indépendant, XI, 168. Réclame l’appui des rois d’Arragon, de Castille et d’Angleterre, 169. Est fait prisonnier ; obtient sa grâce du Roi, 170. (Introd.) — Vient au secours du duc de Bourbon, 351. Se révolte de nouveau ; est tué à Lectoure, XII, 92. (Mém. de Comines.) XIII, 429 et 431.

Armagnac (Ch. d’), frère du précédent, renfermé lui-même pendant 14 ans dans une cage de fer, vient demander aux États généraux qu’on punisse les persécuteurs de sa maison, XIV, 138.

Armange (J.) se rend maître de S.-Célerin avec Henri de Villeblanche, le répare et le défend contre les Anglais, qu’il force à se retirer, VIII, 217.

Armanse (le baron d’) dresse une embuscade aux Genevois, XL, 155. Ses troupes sont défaites, 156.

Armantel, chef des Espagnols, est tué au siége d’Amiens, XLVII, 210.

Armes. Leur diversité selon les temps ; leur utilité et leurs inconvéniens, XXIV, 142 et suiv.

Armes à outrance. Combats qui se faisoient avec armes offensives et de commun accord ; différens des tournois et des duels, III, 135. Entre quelles personnes ils se faisoient ; défis et conditions de ces combats, 136. De quelle manière on devoit frapper ; peine portée contre ceux qui en violoient les règles, 137. Étoient souvent le prélude d’un combat général entre les nations ennemies, 138. D’autres fois se faisoient entre des personnes qui n’étoient pas ennemies, comme celui que proposa Jean, duc de Bourbon, en 1414, 139. Il s’en faisoit aussi de particuliers, 141.

Armoiries d’Autriche, des ducs de Milan, de Portugal, de Bourgogne, IX, 95 et suiv.

Arnauld, avocat, plaide au parlement contre les jésuites, en faveur de l’université, XXXVI, 284 ; XLVII, 70.

Arnauld (Cl.), trésorier général de France ; belle tombe de marbre érigée en son honneur après sa mort ; ce qu’elle devient, XLVII, 433.

Arne (le capit.) est blessé à la bataille de Ver, XXII, 145.

Arnoul, astrologue du Roi, meurt d’une épidémie qui enlève beaucoup de monde à Paris, XIII, 346.

Arnoux (le père), jésuite, devenu confesseur du Roi, fait faire vœu à M. de Luynes de travailler à la ruine des huguenots tant qu’il pourra, L, 386.

Arondel (le comte d’), commandant une troupe d’Anglais au service du duc de Bourgogne, attaque le moustier de S.-Cloud, VII, 251. (Mém. de Fenin.) — Assiége Gerberoy, est blessé dans une attaque, et forcé de lever le siége, VIII, 478. (Hist. de Richemont.)

Arpajon (le seign. d’) vient trouver le comte d’Armagnac, détenu aux Cordeliers de Rhodez ; maltraite de paroles le seigneur de Saverac, VIII, 115. En reçoit un défi qu’il accepte, 116. Comment cette querelle se termine, 117.

Arpedenne (J. d’), capit. anglais, se rend prisonnier avec le duc de Pembrock, V, 122.