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bataille au duc de Mayenne ; va se loger sous Montlhéry, 293. Investit Étampes, s’en rend maître, ainsi que du château, qu’il fait raser, 295. Sur la requête de la Reine douairière, qui demande justice de la mort de son mari, il déclare qu’il ne cessera d’employer ses soins et ses armes à la poursuite de cette vengeance, 297. Soumet Janville ; reçoit à Châteaudun les capitaines suisses qui viennent pour lui offrir de nouveaux secours de la part des cantons ; investit la ville de Vendôme, 298. Attaque le château, s’en rend maître, pille la ville, 301. Se rend à Tours, où il reçoit les hommages du parlement et autres corps constitués, 337. Donne audience à l’ambassadeur de Venise, qui le félicite sur son avénement à la couronne ; rejoint son armée au château du Loir ; envoie investir le Mans, 338. Se rend dans un faubourg de cette ville, fait battre la place, 339. La reçoit à soumission et la préserve du pillage, 340. Réduit plusieurs autres villes du Mans, 341. Se rend à Laval, où il reçoit le prince de Dombes et beaucoup de noblesse, 343. S’assure du château de Mayenne ; se porte sur Alençon, 344. Somme le château de se rendre, et le reçoit à composition, 345. Assiége et prend Falaise, XL, 2 ; Lisieux et Pont-Audemer, 3. Entre dans le fort de Meulan, 4. Emporte d’assaut la ville de Poissy et un petit fort, 5. Assiége Dreux ; se dispose à livrer bataille au duc de Mayenne ; son discours aux seigneurs qui l’accompagnent, 18. Son ordre de bataille, 20. Il commence l’attaque, 30 ; et demeure victorieux à Ivry, 33. Poursuit le duc jusqu’à Mantes, 34. Fait son entrée dans cette ville, 39. Se rend maître de plusieurs places sur la Marne, 56. Renonce au siége de Sens ; revient sur Paris, 57 ; en fait le siége, 73. Accorde des passe-ports aux femmes, filles, enfans et écoliers, aux gens d’Église qui viennent dans son camp pour avoir des vivres, 104. Son discours au cardinal de Gondi et à l’archev. de Lyon, envoyés par les ligueurs pour traiter de la paix, 107. Il leur accorde des passe-ports pour aller trouver M. de Mayenne à Meaux, 114. Va au devant du duc de Parme ; se dispose à une bataille, 117. Tente deux entreprises qui ne réussissent point ; vient loger à Gonesse ; résolution qu’il y prend avec son conseil, 121. Reprend Clermont en Beauvoisis ; renvoie une partie de son armée dans les provinces, 124. Poursuit le duc de Parme, qui se retire en Flandre, 135. Taille en pièces une compagnie de gens de pied espagnols, 136. Charge et met en fuite l’arrière-garde de l’armée de ce prince ; entre dans Saint-Quentin, 138. Tente sur Paris une entreprise qui ne peut réussir, et que les Parisiens appellent la journée des Farines, 170. Trompe les ligueurs sur ses desseins ; fait tout-à-coup investir la ville de Chartres, 188. Entre dans cette ville, 190. Forme une entreprise sur Louviers, 246. Entre dans cette ville, qu’il préserve d’abord du pillage ; va à Dieppe recevoir 500 Anglais et des munitions ; revient à Chartres, où il réunit tout son conseil, 250. Empêche les ligueurs de rien entreprendre sur le Pont-de-l’Arche, 251. Maintient les derniers édits de pacification concernant ceux de la religion prétendue réformée ; en rend un contre le nonce Landriano ; texte de cet édit, 252, Fait le siége de Noyon, 276. Reçoit cette place à composition, 282. Y fait son entrée, 283. Va au siége de Pierre-Fonts ; reçoit le comte d’Essex avec 60 gentilshommes anglais, 284. Se met en route pour Sedan, 310. Loge à la Cassine, maison de M. le duc de Nevers, qui le traite magnifiquement ; entre dans Sedan, où il est reçu par mademoiselle de Bouillon, 311. Se rend à Attigny, d’où les ligueurs se sont retirés, 312. Va recevoir l’armée des Allemands dans les plaines de Vandy ; état de cette