Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/289

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

armée, 313. Va avec une partie de cette armée auprès de Verdun présenter le combat aux Italiens qui y sont logés, 314. Pointe lui-même le canon contre le château d’Haumont ; tue du coup le capitaine, le lieutenant et l’enseigne, et fait rendre la place, 315. Accorde le mariage de madem. de Bouillon avec le vicomte de Turenne, qu’il fait maréchal de France, et qui prend le nom de Bouillon, 316. Prend la petite ville d’Aubanton, 317. Entre dans Vervins, d’où il chasse les ligueurs, 318. Arrive au siége de Rouen, 357. Va au devant du duc de Parme, enlève le quartier du duc de Guise, XLI, 38. Est légèrement blessé à sa retraite d’Aumale, 39. Va camper devant Yvetot, où il livre plusieurs petits combats aux ducs de Parme et de Mayenne, 59. Les tient comme assiégés, et dans la disette de beaucoup de choses, 61. Taille en pièces 600 Espagnols, 62. Force les ducs à se retirer, 63 ; et à repasser la Seine, 64. Reçoit Épernay à composition, et congédie les reîtres, 81. Juge convenable, ainsi que son conseil, de faire deux réponses à la déclaration du duc de Mayenne et à l’exhortation du cardinal-légat concernant la convocation des États et l’élection d’un roi catholique ; texte de ces deux réponses : 1o Proposition des princes, prélats, officiers de la couronne et principaux seigneurs catholiques, faite au duc de Mayenne et aux princes de sa maison, etc., 251 et suiv. ; 2o déclaration du Roi, 235. Il congédie la plupart des princes et seigneurs qui sont auprès de lui, et se rend à Saumur pour voir sa sœur, 248. Permet aux princes catholiques de faire publier une réplique à la réponse que le duc de Mayenne a faite à leur proposition, 265. Sa déclaration à M. d’O sur la résolution qu’il a prise de se faire instruire dans la religion catholique, 299. Son opinion sur le sacrement de l’Eucharistie, 300. Au plus fort de la guerre, il ne cesse de s’entretenir avec les plus doctes sur les principaux points de sa religion, et étonne souvent les ministres calvinistes par ses réflexions, 303. Appelle auprès de lui plusieurs prélats et docteurs ecclésiastiques, pour travailler à sa conversion ; sa lettre à cet effet est lue aux conférences de Suresne, 366. Sa réponse aux ministres calvinistes, alarmés de sa résolution, 368. Se rend maître de Dreux par la force, 419. Fait son abjuration à S.-Denis, 454. Détails sur cette cérémonie, 457. Lettre du Roi adressée à tous les parlemens sur son abjuration, 460. Il signe une trève générale par toute la France, 463. Adresse au Pape une lettre sur sa conversion, 479. Écrits publiés pour justifier l’absolution du Roi, XLII, 1 et suiv. Il accorde une prolongation de trève pour deux mois, 64. Reçoit à Mantes les députés des protestans, qui lui présentent les cahiers de leurs plaintes ; déclaration qu’il leur fait de ses sentimens et de ses intentions pour eux, 67. Permet une conférence entre l’évêque Du Perron et le ministre Rotan sur la religion, 69. Publie une déclaration des causes qui le forcent à reprendre les armes, 83. Reçoit à composition La Ferté-Milon, 116. Accorde aux duchés d’Orléans et de Berri une trève de trois mois, à condition qu’ils traiteront de la paix et de la réconciliation définitive avec S. M., 121. Rend un édit en faveur de la ville de Lyon, 125. Se rend à Chartres pour s’y faire sacrer ; détails sur cette cérémonie, 158 et suiv. Le Roi reçoit des mains de l’évêque de Chartres le collier de l’ordre du S.-Esprit, 184. Entre dans Paris, 195. Accorde au duc de Féria, et à don Diégo d’Ibarra, un sauf-conduit pour se retirer en Flandre avec les troupes espagnoles, 196. Va rendre grâces à Dieu à Notre-Dame, 197. Va à la porte S.-Denis voir sortir les garnisons espagnoles, 206. Noms des seigneurs qui accompagnent Henri IV à son entrée dans Paris, 208. Édit sur la réduction de cette ville, 209. Procession générale à la-