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appréhension dont il est saisi en se trouvant presque seul avec lui ; retire ses troupes des faubourgs, 16. Fait transférer le cardinal de Bourbon de Chinon à Fontenay ; motif de cette translation, 18. Réduit les villes de Janville et Vendôme ; fait pendre le gouverneur de cette dernière ville et le cordelier Jessé ; reçoit à Tours l’ambassadeur de Venise ; va faire le siége du Mans, 20. Soumet cette ville ; reçoit Falaise des mains de Brissac, auquel il pardonne, 22. Se rend maître d’Alençon, de son château, et de plusieurs autres villes, 25. Force le duc de Mayenne à lever le siége de Meulan, 31. Gagne la bataille d’Ivry ; se rafraîchit deux jours à Mantes, où il passe son temps à jouer à la paume ; des boulangers lui gagnent de l’argent, et refusent de lui donner sa revanche ; comment il les y force, 32. Met le siége devant Dreux, 35. Entre dans Corbeil, Melun, Montereau et Lagny, 39. Fait attaquer le faubourg S.-Martin de Paris, 41. Campe devant Paris, depuis la porte S.-Antoine jusqu’à celle de Montmartre ; fait brûler tous les moulins des environs, 47. Attaque le château de Vincennes, d’où il est obligé de se retirer avec perte, 53. Fait canonner la ville de Paris sans effet, 55. Sa réponse à des gentilshommes qui se plaignent que les minimes du faubourg S.-Honoré leur ont refusé la communion ; accorde un passe-port au légat pour venir conférer avec le marquis de Pisani dans la maison de Gondi, 60. La ville de S.-Denis lui est rendue par composition, 61. Il prend tous les faubourgs de Paris, qu’il fait fortifier avec retranchemens et barricades, 63. Quitte Montmartre pour aller à Longchamp ; calembour du maréchal de Biron sur ce changement, 65. Attendri jusqu’aux larmes des malheurs des Parisiens, il leur permet de sortir de la ville jusqu’au nombre de 3,000, 67. Reçoit avec bonté les députés de Paris, mais n’accorde rien de leurs demandes, 73. Touché de la misère du peuple de Paris, il donne des passe-ports aux femmes, filles, enfans, écoliers, même à ses plus cruels ennemis ; fait passer des vivres aux princes et princesses qui sont dans la ville, 82. Sa lettre à Gabrielle d’Estrées la veille d’une bataille, 85. Contre l’avis de La Noue, il lève le siége de Paris pour aller combattre le prince de Parme, 86. Publie une déclaration par laquelle il promet de conserver la religion catholique, la prenant sous sa protection, ainsi que la ville de Paris ; promet en outre l’oubli du passé à ceux qui aideront à remettre cette ville sous son obéissance, 87. Sa réponse au cardinal de Gondi et à l’archevêque de Lyon, députés de Paris, envoyés pour traiter d’une pacification générale, 90. Il leur montre des lettres interceptées envoyées par Mendoze au roi d’Espagne, 91. Ne veut pas croire aux avis qu’on lui donne que le duc de Mayenne le trompe, 92. Fait construire deux forts sur la Seine qui bloquent plus étroitement les Parisiens, 93. Envoie demander bataille aux ducs de Parme et de Mayenne, 98. Distribue ses troupes en diverses provinces, 99. Fait venir auprès de lui le chancelier de Cheverny, et lui remet les sceaux, 101. Se met à la poursuite du duc de Parme, 107. La musique du Roi est rétablie à la cour de Henri, 108. À la nouvelle de la déroute du chevalier d’Aumale à Saint-Denis, il adresse à Dieu une prière ardente pour le remercier des biens qu’il lui accorde journellement, 119. Essaie de surprendre Paris par un stratagême, 123. Entre victorieux dans Chartres, 143. Fait lâcher un grand nombre de pauvres gens que ses soldats tourmentent, parce qu’ils portent des vivres à Paris ; leur donne tout l’argent qu’il a sur lui, 146. S’empare de Dourdan, 156. Entre dans Louviers ; comment cette place est prise, 165. Publie une déclaration contre les bulles monito-