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riales du Pape ; promet de vouloir conserver la religion catholique dans tous ses priviléges, et de se faire instruire dans cette religion ; ordonne aux parlemens de procéder contre Landriano, qui a fait publier les bulles monitoriales, 170. Rétablit les édits de pacification, 171. Refuse au clergé assemblé à Mantes d’envoyer des députés au Pape, 172. S’empare de Noyon après un siége d’un mois, 176. Va au devant des troupes allemandes qui lui arrivent, 179. Dit, en apprenant l’exécution du président Brisson, qu’il n’a point de meilleurs serviteurs à Paris que les Seize, 201. Ce qu’il dit en apprenant l’exécution des meurtriers du président Brisson, 220. Assiége Rouen ; adresse une lettre aux échevins de cette ville pour les engager à la lui rendre, 229. Irrité de leur réponse, il s’empare de l’église de S.-André pour battre la ville ; est forcé d’en sortir, 230. Ses troupes sont battues à la porte Cauchoise, 231. Instruit des conférences qui ont lieu pour la paix, il promet de se convertir, et permet qu’on envoie à Rome porter cette nouvelle au Pape, 233. Est légèrement blessé au combat d’Aumale, 239. Lettre à sa maîtresse sur cette blessure, 242. Est forcé de lever le siége de Rouen ; circonstances de cette levée, 250. Bat l’armée ennemie près de Fécamp, 252. Défait un quartier de l’armée du duc de Parme, 254. Confirme les priviléges accordés aux officiers de sa maison par les rois ses prédécesseurs, 259. Envoie des députés au Pape pour lui témoigner l’intention qu’il a de se faire instruire, 272. Fait bâtir un fort dans l’île de Gournay, ce qui jette l’alarme dans Paris, 283. Sa réponse à des habitans de Paris qui lui disent qu’on a voulu envoyer devers lui pour le prier de se faire catholique, 288. Il se prépare à s’opposer au duc de Parme, 302. Revient à S.-Denis après la mort de ce duc, 348. Publie un édit contre la convocation et la tenue des États faites par le duc de Mayenne, 336. Se rend à Saumur, et fait approcher ses troupes d’Orléans, 349. Sa réponse aux ministres protestans qui viennent lui demander s’il est vrai qu’il va se faire catholique, 373. Ses paroles au sujet des divers avis des prédicateurs sur sa conversion, 383. Sa réponse aux protestans, qui se plaignent qu’on leur a défendu de prêcher à dix lieues aux environs de S.-Denis, 389. Sa réponse au cardinal de Bourbon et à M. d’O, qui se plaignent à lui de la hardiesse du ministre Damours, 391. Autre réponse aux ministres protestans alarmés du bruit de sa conversion, 405. Envoie à plusieurs archevêques et évêques des lettres de cachet pour les prier de se rendre auprès de lui, désirant être instruit par eux de la religion catholique, 413. Reçoit avis de deux entreprises faites à Paris pour le tuer, 420. Prend la tour grise de Dreux, 456. Se rend maître de cette ville, 459. Vient à S.-Denis ; écrit à la marquise de Monceaux, 462. Entre en conférence avec les docteurs sur le fait de sa conversion, 470. Sa lettre à madame de Monceaux, 471. La formule d’abjuration qu’on lui présente est changée et adoucie, 473. Vers faits par un ligueur sur sa conversion, 474. Le Roi va à la messe à S.-Denis, 476. Apercevant un grand nombre de femmes de Paris qui désirent le voir, il fait retirer ses archers pour leur faire place ; embrasse le duc d’Elbœuf, et l’entretient long-temps, 481. Paroles à mad. de Guise après la réduction de Dreux, 482. Opinions et écrits sur la conversion du Roi, 484. Commande à son maître d’hôtel de ne plus servir de viandes prohibées par l’Église catholique, 492. Cérémonie de son abjuration, 493. S’amuse des sermons des prédicateurs de la Ligue, 500. Publie une déclaration sur son absolution, 512. Consent à la prolongation de la trève, 523. Son discours aux dépu-