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les députés des cantons suisses, 354. Renouvelle à Notre-Dame le serment d’alliance avec eux, 356. Les traite magnifiquement à l’évêché, 358. Aventure plaisante qui lui arrive en chassant à Grosbois, 364. Remet sous la garde de M. de Guise le prince de Joinville son frère, 366. Court la bague aux Tuileries, 370. Revient à l’improviste à Paris ; va voir madame de Verneuil, 382. Tombe malade d’une rétention d’urine ; son appréhension pendant sa maladie, 386. Sa convalescence, 387. Se rend au Louvre en passant le Pont-Neuf non encore achevé, 392. Va dîner à Rosny ; tempête dont il y est assailli, 405. Tombe malade à Rouen, 406. Revient à Saint-Germain ; arrête le rétablissement des jésuites, 410. Fait faire la recherche d’un pasquil intitulé les Comédiens, lequel se répand davantage, 413. Défend de trafiquer ni avoir commerce avec les pays de l’obéissance du Pape et des archiducs, 426. Regrets qu’il donne à la mort de sa sœur, 429. Accorde aux jésuites le collége de La Flèche, 435. Ressentiment fâcheux qu’il éprouve de la trahison de Loste ; sa conduite envers M. de Villeroy à ce sujet, 441. Charge son lieutenant général et les principaux officiers de la ville d’Orléans de faire une justice exemplaire des auteurs de la sédition qui a eu lieu à l’occasion de la mort d’un des principaux massacreurs de la S.-Barthelemy, 468. Annonce à l’ambassadeur d’Angleterre la nouvelle de la reddition de L’Écluse, 473. Accorde la vie au comte d’Auvergne et au comte d’Entragues ; remet la peine à la marquise de Verneuil, 485. Vers faits à cette occasion, 486. S’oppose à ce qu’on procède contre le fou qui a voulu le tuer sur le Pont-Neuf, 506. Va faire le siége de Sedan, 523. Réduit cette ville, et s’arrange avec le duc de Bouillon ; sa lettre à la princesse d’Orange à ce sujet, 525. Rentre à Paris avec M. de Bouillon, 528. Manque d’être noyé avec la Reine et M. de Vendôme, 534. Rend un édit en faveur des pauvres gentilshommes, capitaines et soldats vieux ou estropiés, XLVIII, 5. Un autre pour la défense des passemens d’or et d’argent, 26. Plaisante farce jouée devant le Roi à l’hôtel de Bourgogne, 27. Le Roi ordonne que les joueurs mis en prison soient relâchés, 28. Va à la foire de S.-Germain, où il perd 700 écus au jeu, 33. Défend au prince de Condé et au duc de Nevers de se battre en duel, 34. Fait percer la rue Dauphine, en face du Pont-Neuf, 35. Donne la croix et le cordon bleu à son fils le duc d’Orléans, 47. Ordonne au parlement qu’il fasse la recherche des financiers, et vérifie l’édit du pied-fourché, 51. Accommode le Pape avec les Vénitiens, 56. Ses visites à la reine Marguerite, 57. Il refuse de composer avec les trésoriers de sa cour, 62. Appointe plaisamment la querelle de M. le garde des sceaux et du duc de Sully, 63. Accorde au frère Amiot, religieux ermite de S.-Augustin, un brevet qui lui permet de recevoir et occuper tous biens, héritages et possessions, et bâtir couvens de son ordre en tous lieux et endroits de son royaume, 64. Fonde l’hôpital S.-Louis, 68. Tombe malade pour avoir mangé du melon ; cette maladie le rend chagrin, colère et inaccessible ; compose avec les financiers par importunité, 70. Ordonne au parlement de faire justice dans l’affaire de Miramion, 71. Fait faire un service à Notre-Dame de Paris pour le repos de l’ame du cardinal Baronius, 72. Accorde la grâce à Zamet, qui a tué en duel le neveu du duc d’Épernon, 89. Déclare en présence de sa noblesse qu’il veut et entend que M. le duc d’Orléans son second fils épouse la fille de M. de Montpensier, 93. Ordonne, dans un chapitre de l’ordre du S.-Esprit, que les rois, princes et seigneurs étrangers pourront y être admis, 95. Fait un traité avec les Provinces-Unies, 98. Permet par un édit que les jésuites soient admis