Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/298

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

et reçus dans le Béarn, 104. Sa passion pour le jeu est d’un exemple contagieux, 135. Difficulté qu’il rencontre pour le mariage de M. de Vendôme de la part de M. de Mercœur ; il prend sous sa protection l’évêque de Verdun, 136. Parole flatteuse pour le duc de Sully, 137. Rend un édit portant création de deux maîtrises jurées de chaque art et métier dans toutes les villes de son royaume, 138. Trait notable et plaisant envers quatre marchands de blé, 143. Casse les lettres de maîtrises de tous arts et métiers créées avant son avénement, 150. Rend un édit sur l’union et incorporation au domaine de la couronne de son ancien patrimoine, 166. Fait voir au duc de Mantoue tous ses bâtimens de la ville et de la campagne, 176. Ses paroles sur une lettre du prince Maurice ; il menace les Provinces-Unies de les abandonner si elles ne veulent s’arranger avec lui, 181. Presse M. de Sully de se faire catholique, 191. Ce qu’il pense du prédicateur Seguiran, 195. Mot plaisant sur les poursuites de mad. de Verdun, qui sollicite la première présidence de Paris pour son mari, 202. Évoque à son conseil la connoissance d’une entreprise découverte sur La Rochelle ; fait enregistrer à la chambre des comptes l’édit de réunion de l’ancien domaine de Navarre à la couronne de France, 225. Paroles à Bassompierre, qui perd l’argent de S. M. au jeu ; bon mot sur les amours du comte de Gramont avec une grosse fille de la Reine, 241. Refuse de pardonner à Du Terrail, 249. Publie un édit contre les banqueroutiers et cessionnaires, 260. Publie un édit sur la prohibition et punition des querelles et duels, 264. Refuse la charge de lieutenant civil au frère du feu président Miron, 265. Prévient par ses ordres le trouble qui est près d’éclater à Orléans, 290. Se moque de son président des monnoies, 291, et d’un Périgourdin qui le presse sur un édit concernant les monnoies ; permet aux femmes de ses officiers de porter des perles pourvu qu’elles soient cornues, 292. Son entretien avec une pauvre femme qui conduit une vache, 303. Donne audience aux marchands de soie de Paris, 306. Sur les remontrances du maréchal d’Ornano, révoque des édits ruineux pour le peuple, 311. Reçoit l’ambassadeur de l’Empereur, envoyé pour la guerre de Clèves, 314. Envoie au parlement jussion expresse d’enregistrer tous ses édits, 316. Défend par une ordonnance de porter sur soi de petits pistolets ; accorde aux jésuites l’hôtel de Mézières pour faire un noviciat ; donne l’ordre de S.-Michel au duc de Moldavie et à son fils, ainsi qu’au comte de Schwartzemberg, 324. Publie un édit portant création et érection d’une lettre de maîtrise jurée de chaque art et métier dans tous les bourgs de son royaume, 327. Présent donné par le Roi à l’ambassadeur d’Angleterre ; présens donnés à l’ambassadrice, 328. Il se fait apporter l’arrêt rendu en faveur de Voisin, 333. Va voir la princesse de Condé en sa maison de Breteuil, 341. Revient presque aussitôt à Paris ; mot de la marquise de Verneuil à cette occasion ; fait courir après le prince de Condé qui se retire en Flandre, 342. Sa réponse à M. de Sully au sujet des prédications du père Gontier, 349. Il nomme quatre commissaires pour aller visiter les colléges de Treguier et de Cambray, 354. Rend un édit en faveur des référendaires des chancelleries de France, 356. Révoque la défense qu’il a faite au père Gontier de prêcher dans les paroisses de Paris, 363. Se moque des présidens La Seure et Chevalier, 379. S’oppose à ce que le parlement mette à néant la censure faite à Rome de son arrêt rendu contre J. Chastel, 380. Revient de Fontainebleau à Paris mécontent de la Reine ; pourquoi, 387. Se moque d’un avocat qui a fait le panégyrique de la vierge