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des ligueurs, 221. (Introd.) — Est nommé lieutenant général en Normandie, XXXIII, 201. (Mém. de Castelnau.) — Condamné par le parlement de Paris, comme un des chefs de la Ligue, à être écartelé, il se retire en Flandre, où il est bien traité, XXXVI, 316. (Mém. de Cheverny.) — Assiége Senlis, XXXIX, 172. Est battu devant cette place, et se retire blessé à S.-Denis, 177. Est défait devant Noyon, XL, 278. Est déclaré criminel de lèse-majesté au premier chef ; son effigie est mise en quatre quartiers par l’exécuteur de justice, XLIII, 60. Lettre au Roi, qui lui est attribuée, 62. Récit de quelques historiens sur l’amitié que le père du duc porta à Antoine, roi de Navarre, 63. (Mém. de Cayet.) — Sous prétexte de dévaliser et massacrer les huguenots, il court la Picardie, tuant et pillant prêtres, moines, gentilshommes et roturiers, XLV, 292. Défait, aux environs d’Abbeville, une compagnie que Champignole conduisoit à Boulogne pour renforcer cette ville contre la Ligue, 328. Se saisit d’un des faubourgs d’Abbeville, et fortifie Pont-Dormy ; paroles du Roi à ce sujet, 358. Créé gouverneur de Paris après la mort des Guise, il envoie les Seize fouiller les maisons des royaux et des politiques, 378. Est reçu gouverneur de Picardie, XLVI, 498. Est tiré en effigie à quatre chevaux, par arrêt du parlement, comme criminel de lèse-majesté, XLVII, 138. (Mém. de L’Estoile.)

Aumale (François de Lorraine, duc d’), fils aîné du duc de Guise, défait un parti ennemi auprès de Térouane, XIX, 415. Fait une entreprise sur Avesnes, 433. Est dangereusement blessé devant Luxembourg, 450. Est grièvement blessé dans une escarmouche contre les Anglais, 589. (Mém. de Du Bellay.)

Aumale (le duc d’), troisième fils du duc de Guise, visite la place de Vulpian avec Bl. de Montluc ; dangers qu’ils y courent tous deux, XXI, 333. (Comm. de Montluc.) — Est blessé et fait prisonnier par le marquis de Brandebourg, et présenté à l’Empereur, XXIV, 87. Ne sait s’opposer au passage du duc des Deux-Ponts, à qui il laisse prendre Nuits et La Charité, XXV, 92. Loge dans la maison de Chally Morver, qui doit assassiner l’amiral, 293. Est tué au siége de La Rochelle, 396. (Mém. de Tavannes.) — Livre bataille au marquis Albert de Brandebourg, XXXI, 151 ; est fait prisonnier, 153. Noms des capitaines tués ou faits prisonniers, 153 et 154. Assiége Vulpian en Italie, 381 ; force cette place à capituler, 383. (Comm. de Rabutin.)

Aumale (le chevalier d’) surprend la ville de S.-Denis, qui appartient au Roi ; est surpris à son tour par Du Vic, gouverneur pour le Roi ; périt dans le désordre, XX, 248. (Introduct.) — Surprend la ville d’Orléans, XXXVI, 124. Est tué à S.-Denis, 186. (Mém. de Cheverny.) — Conçoit le projet de faire par toute la France une Saint-Barthelemy de tous les serviteurs du Roi ; excès qu’il commet à Fresnes, maison du seigneur d’O, XLV, 394 ; et au faubourg de Saint-Symphorien de Tours, 400. Force les ennemis à abandonner l’abbaye de Saint-Antoine ; pillage de l’église, XLVI, 47. Force les royalistes à se retirer à Charenton ; oblige le roi de Navarre à se retirer avec perte du château de Vincennes, 53. Entre par escalade dans S.-Denis, où il est tué, 117. Son dessein de tuer tous ceux qu’on appelle politiques, 118. Vers faits à l’occasion de son cercueil plein de rats, 121. Des services sont commandés pour lui dans toutes les paroisses, avec injonction expresse de s’y trouver, 131. (L’Estoile.)

Aumale (le comte d’), lieutenant du Roi à Tours, se rend en toute hâte à Laval, VIII, 95. Y rassemble des troupes de toutes parts, 96. Se rend à La Brossinière ; y livre combat aux Anglais, 97. Les défait, 98. Est tué au combat de Verneuil, 106.

Aumont (le maréchal d’), à l’ap-