Aller au contenu

Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/303

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

nople pour soumettre le reste de l’Empire, 238. Fait pendre un de ses chevaliers pour avoir retenu une part du butin fait à Constantinople, 280. Meurt dans cette ville, 338.

Hugues Lebrun et son fils se croisent avec le Roi, II, 203.

Hugues, comte de S.-Paul, se croise avec le Roi, II, 203.

Hugues de S.-Denis manque aux promesses qu’il avoit faites aux chefs croisés, I, 132.

Hugues de Tabarie arrive de la Palestine à Constantinople, I, 324.

Hugues IV, duc de Bourgogne, se croise en faveur du jeune Baudouin, I, 493. (Décad. de l’Emp. lat.) — Prend part aux troubles sous la régence de Blanche de Castille, II, 41. (Tabl. du règ. de S. Louis.) — Attaque la ville de Troyes avec les barons mécontens, 196. Se croise avec le Roi, 203. Son caractère, 360. (Joinville.)

Hugues de Landricourt, tué à la bataille du lundi gras ; anecdote à son sujet, II, 273.

Hugues de Gênes (le comte) est fait prisonnier lors de la descente du prince de Navarre dans le royaume de Naples, XX, 377.

Hulst (siége de la ville de), aux Pays-Bas, célèbre par la défense des habitans et de la garnison ; détails ; la place est rendue aux Espagnols par capitulation, XLIII, 266 et suiv.

Humbert II, dauphin du Viennois, vend le Dauphiné à Philippe de Valois, IV, 118.

Humières (Jean de) est fait prisonnier pendant le siége de Bourges, VII, 253.

Humières (Jean, seign. d’), envoyé en Dauphiné comme lieutenant général, fait toutes les dispositions nécessaires pour mettre cette province en état de défense, XVIII, 434. Arrive avec des troupes devant Pignerol, XIX, 258. Se porte sur Ast pour l’assiéger, 259. Emprunte de toutes les bourses du camp pour payer les lansquenets ; entre dans la ville d’Albe, 260. Pourvoit à la défense des places du Piémont, et se retire au marquisat de Saluces, 265. Est forcé par les lansquenets à se rendre à Pignerol, 266.

Humières, command. d’Estraipagny, est tué au siége de Peronne, XIX, 168.

Humières (le sieur d’), lieuten. général en Picardie, est tué en attaquant la ville de Ham, XXXVI, 296. (Mém. de Cheverny.) XLIII, 48. — Entre dans Amiens pour forcer les habitans à signer la Ligue, XLV, 149. Est tué à la prise de Ham, XLVII, 138. (L’Estoile.)

Humières (M. d’), prem. gentilh. de la chambre, est blessé à mort au siége de Royan, L, 535.

Hunaudaye (le seign. de La) assiste à la bataille de Pontvallain, V, 80. Se distingue au siége de Bressières, 106.

Hunaudaye (le seign. de La) est tué par les Anglais au siége de Pontorson, avec les chevaliers de Chasteaugiron, Guillaume L’Évêque, Robin de Quiste, Olivier Tomelin et plusieurs autres, VIII, 441.

Hurault (Phil.), abbé de Pontlevoy, troisième fils du chancelier de Cheverny : époque de sa naissance ; son éducation, XXXVI, 401. Son père le décide à embrasser l’état ecclésiastique, et lui fait obtenir quatre abbayes à l’âge de 13 ans ; il compose à cet âge un discours latin qui est envoyé à Rome ; se perfectionne dans le grec et le latin, 402. Est nommé à l’évêché de Chartres, présenté à la cour, et traité avec bonté par le Roi ; après la mort du chancelier, il va porter les sceaux au Roi, qui promet de lui tenir lieu de père ainsi qu’à ses frères, 403. Donne à dîner à Henri IV et à mademoiselle d’Entragues dans son abbaye de Royaumont ; accompagne le Roi dans son voyage à Lyon ; est nommé premier aumônier de Marie de Médicis ; époque de sa mort, 404. Quand il commença à écrire ses Mémoires ; ce qu’on en a conservé dans la Collection, 405. En quoi ils sont intéressans et curieux, 406. Le