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de France, est envoyé en ambassade auprès du comte de Charolais, XIII, 361. Fait la revue des bannières des métiers de Paris, 367.

L’Advenu (Martin), confesseur de la Pucelle, lui annonce qu’elle doit se préparer à la mort, VIII, 305. Par ses exhortations calme les transports de sa douleur, 306. L’accompagne au supplice ; ne cesse de l’exhorter, 308.

Laffemas, jadis tailleur, puis avocat, se fait écrivain ; paroles d’Henri IV, auquel il présente un de ses livres, XLVIII, 25.

La Fin (le sieur de), gentilhomme, agent secret du duc de Savoie, gagne le maréchal de Biron, XXXVI, 435. (Mém. de Pontlevoy.) — Défend vaillamment le village de Lagny, où il est blessé et fait prisonnier, XL, 120. (Mém. de Cayet.) — Est confident du duc de Nemours, XLVII, 260. Est confronté avec le maréchal de Biron, 335. Est tué en plein jour sur le Pont-Neuf, 527. (L’Estoile.)

La Fontaine, sergent, est condamné par le parlement de Rouen à être pendu avec les nominés Champhyon et Dallier, pour avoir tenté de donner entrée dans la ville au duc de Longueville et au maréchal de Biron, XLVI, 236.

Lagarde, gentilh., est tué dans une affaire conduite par B. de Montluc près de Marennes, XX, 479.

Lagarde (le sieur de) fait sortir du bourg d’Arques une troupe de ligueurs, dont il tue et désarme un grand nombre, XXXIX, 286.

Lago (le capit.) se distingue au siége de Thionville en combattant les assiégés qui font une sortie dans les tranchées, XXI, 438.

Lagrange (le capit.) sauve la ville de Mouzon de l’incendie, XVII, 320.

Lagrange-Courtin, maître des requêtes, juge de la chambre royale pour la recherche des trésoriers, reproche au chancelier de ce qu’on sauve les plus grands coupables et qu’on punit les petits, XLVII, 204.

Lagrange-Santerre, gentilh. des plus vaillans de son siècle, mais insigne voleur, est exécuté en place de Grève, XLVII, 384. Ses deux frères sont décapités, 385.

Lahaye (Jean de), baron de Coulonces, se joint au comte d’Aumale contre les Anglais, VIII, 95. Prend part à la bataille de la Brossinière, 97. Défait les Anglais à Ardevon, près du mont S.-Michel, 100. (Mém. conc. la Puc.) — Est tué au siége de Pontorson, 441. (Richemont.)

Lahaye (le lieuten.), gentilh., se distingue au siége de Poitiers ; se soulève contre le Roi ; est tué par S.-Souline, XLV, 120.

Lahire (Ét. de Vignole, dit), capit. de Crespy, défend cette ville contre le duc de Bourgogne, VII, 319. (Mém. de Fenin.) — Désespérant de sauver Orléans, il s’éloigne avec le comte de Clermont, VIII, 38. Meurt sans avoir rien conservé des sommes considérables que le Roi lui avoit données, ni de celles qu’il avoit gagnées par le pillage, 71. (Tabl. du règ. de Ch. VII.) — Est chargé de faire une course devant Montargis pour connoître les positions des assiégeans ; découvre un passage pour entrer dans leur camp ; avant de s’y engager demande l’absolution à un chapelain ; singulière prière qu’il fait à Dieu, 126. Entre dans le camp, met le feu dans une partie ; force les comtes de Warwick et de Suffolck à se retirer, 127. Par cette entreprise hardie fait lever le siége aux Anglais, 128. Entre subitement dans la ville du Mans, à l’aide de quelques intelligences qu’il a dans la place ; force les Anglais à se retirer dans la tour Ribendelle ; noms des seigneurs qui l’accompagnent, 132. Poursuit les Anglais qui ont levé le siége d’Orléans, 178. Assiste au siége de Jargeau, 181. (Mém. conc. la Puc.) — Est envoyé au secours du sire de Commercy, 467. Défend Gerberoy contre le comte d’Arondel, 478. Tente une entreprise sur Gisors avec Xaintrailles et Penensac, 492. Peu de