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succès qu’il y obtient, 493. Assiste au siége de Meaux ; rompt le traité par lequel le marché de cette ville devoit se rendre, 509. Charge les Anglais, 510. (Richemont.)

Laistre (Eustache de) est fait chancelier du gouvernement établi à Troyes, VI, 335.

Lalain (Jacq. de), chevalier bourguignon, obtient du duc de Bourgogne de soutenir l’entreprise d’armes proposée par Jean de Boniface, IX, 425. Va en Écosse, où il soutient une pareille entreprise contre Jacq. Du Glas, frère du comte de ce nom, en présence du Roi, 446 et suiv. Défend à Bruges une entreprise d’armes contre Th. Qué, chevalier anglais, 459. Y est blessé, 462. Renverse à terre son adversaire, 463. Tient pendant un an un pas d’armes à Châlons-sur-Saône, X, 3. Description du lieu du pas d’armes, 5. Le défend contre Pierre de Chandios, 10 ; contre J. de Boniface, 14 ; contre Gérard de Rosillon, 20 ; contre Claude de Ste.-Hélène, 31 ; contre Amé Rabutin, 34 ; contre Jacques d’Avanchies, 37. Une seconde fois contre le même, 39. Une troisième fois contre le même, 41 ; contre Guill. de Bassam, 42 ; contre J. de Villeneuve, 44 ; contre Gaspard de Dourtain, 45 ; contre J. Piétois, 47. Donne un grand souper aux chevaliers qui ont disputé le pas, et distribue des prix à quelques-uns d’eux, 49. S’acquiert une grande renommée, 52. Reçoit le collier de la Toison d’or, 53. Joûte avec le comte de Charolais, 60. Danger qu’il court devant Oudenarde, au milieu des Gantois rebelles, 79. Comment il est délivré, 80. Se met à la poursuite des ennemis, accompagné de plusieurs chevaliers, 82. Sauve par sa bravoure un grand nombre de guerriers au village de Lokeran, 88. Débarrasse son frère des mains des ennemis, 89. Monte le premier sur un boulevard de Gand, 91 ; est blessé d’un coup de pique, 107. Est tué d’un coup de canon devant le château de Pouques, 138. Ses funérailles ; est regretté du duc de Bourgogne et de toute l’armée, 139.

Lalain (J. de) est tué à la bataille de Grandson, X, 395.

Lalain (Philippe de), frère de Jacques, entreprend de faire une course devant Gand ; est obligé de se retirer, X, 123. Est tué à la bataille de Montlhéry, 240 ; XI, 369.

Lalain (Phil., comte de), grand bailli du Hainaut, fait une magnifique réception à la reine de Navarre, XXXVII, 107. Résolution qu’il prend avec elle sur les moyens de secouer le joug espagnol, 113.

Lalain (Simon de), oncle de J. de Lalain, accompagne ce chevalier en Écosse, et soutient avec lui une entreprise d’armes, IX, 446. Est envoyé à Oudenarde pour s’assurer de la fidélité de cette ville, X, 69. Fait une sortie contre les Gantois rebelles, en tue plusieurs ; se retire en bon ordre et sans perte, 70. Fortifie la ville, 71. Fait apporter des pierres et des cailloux sur les murs par sa femme, ses parentes et les dames, 72. Comment il parvient à savoir des nouvelles de l’armée du duc, 74. Vole au secours du seign. Maldegam surpris dans une embuscade, 127. Perd son étendard, 128. Va au devant des Gantois à la tête de 50 chevaux, 143. Les fait escarmoucher, 145. Est nommé lieutenant général du bâtard de Bourgogne pour aller combattre les Sarrasins, 253.

Lalande (Th. de), écuyer du roi d’Angleterre, défend une entreprise d’armes contre Phil. Bouton, X, 266.

Lalande est fait maître d’hôtel ordinaire, en récompense de sa généreuse résistance dans la ville de Landrecies, XVII, 167. (Introd.) — Emporte d’assaut un fort voisin d’Avesnes, XIX, 423. Vient au secours des Français surpris dans une embuscade, et repousse les Impériaux, 439. Est tué au siége de S.-Dizier, 536. (Du Bellay.)

Lalier (Michel), bourgeois de Paris, seconde le connétable de Ri-