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tin ; défend la ville de Senlis contre les troupes de la Ligue, 114. Force le duc d’Aumale à en lever le siége, 115. Reçoit de Henri III un brevet de maréchal de France ; se distingue aux combats d’Arques, d’Ivry ; emporte le faubourg Saint-Laurent de Paris, où il est blessé ; entreprend le siége de Lamballe en Bretagne, 116. Y est blessé ; meurt à Montcontour, 117. Idée sur ses ouvrages, 118. Éloge de ses Mémoires, 119. L’impartialité en fait le principal mérite, 120. (Notice.) — Est fait prisonnier à la bataille de Montcontour, et sauvé de la mort par le duc d’Anjou, 273. Son entretien avec le cardinal de Lorraine, 277. Ses réflexions sur les guerres et les traités de paix faits avec les protestans, 289. (La Noue.) — Sa conduite lors du siége de La Rochelle diversement jugée, XXXV, 81. Décide les protestans à renouveler la guerre, 101. S’oppose aux plaisirs du roi de Navarre, 156. (Mém. de Bouillon.) — Est blessé au siége de Paris, XXXVI, 154. (Cheverny.) — Accepte malgré lui le commandement de l’armée du duc de Longueville devant Senlis, XXXIX, 174. Sa harangue aux capitaines, 175. Son discours dans le conseil du Roi sur les moyens de diviser et de ruiner la Ligue, 329. Est blessé dans une attaque faite sur S.-Denis, XL, 76. Envoyé en Bretagne, il y est blessé et meurt des suites de sa blessure, 289. Éloge de ce seigneur, 290. Son épitaphe, 291. Belles paroles qu’il adresse à M. de Montmartin, 292. Ses discours politiques et militaires, 293. (Mém. de Cayet.) — Ayant découvert une partie faite pour le tuer, il sort de Paris ; pourquoi il est haï du Roi et de la Reine mère, XLV, 142. Obtient du Roi une déclaration comme quoi il n’est pas compris dans l’édit de saisie et de confiscation des huguenots rebelles, 201. Est tué au siége de Lamballe, XLVI, 308. (L’Estoile.)

Lanoue est étranglé en place de Grève pour cause d’inceste, XLVIII, 270.

Lanque (le capit.) dans une escarmouche étend mort à terre d’un coup d’épieu un Allemand qui lui a tué son cheval, XXXII, 347.

Lansac (le seign. de), envoyé de Rome au secours de M. de Strozzi, est fait prisonnier en chemin, et conduit au marquis de Marignan, qui le traite avec une extrême rigueur, XXI, 200.

Lansquenets (les). Sens de ce mot ; manière de combattre des lansquenets ; depuis quand ils se mirent à cheval, XXIV, 380.

Lanssac (le seign. de) est envoyé par le Roi en Pologne auprès de l’évêque de Valence, chargé d’un récit concernant la journée de la S.-Barthelemy, XXXVIII, 110. Est arrêté à Posnanie ; comment il est délivré ; se rend à Connin auprès de l’évêque, qui le retient jusqu’à la fin de la négociation, 111. Après le discours prononcé par l’évêque dans la diète générale, il va visiter plusieurs seigneurs polonais, 133. (Mém. de J. Choisnin.) — Se rend maître du château de Touvois pour la Ligue, XXXIX, 333. S’empare de La Flèche, assiége le château, 334. Est forcé de faire sa retraite au Mans, 335. Est fait prisonnier par le sieur Bois-Dauphin, et envoyé au château du Loir, dont il parvient à se rendre maître, 336. Rend le château de Touvois au Roi ; lui prête serment de fidélité, 340. Malgré son serment entretient des intelligences avec les ligueurs, XL, 57. Tente sur le Mans une entreprise qui échoue ; se retire en Bretagne, 58. Revient dans le Maine, surprend Mayenne et en assiége le château, 63. Est battu devant cette place, 66. S’enfuit en Bretagne, 67. (Mém. de Cayet.)

Lanyvolare (Hannibal, comte de), est tué dans un assaut livré à la petite ville de Busque, XIX, 265.

Laon (le vicomte de), fils de Jean de Montagu, obtient que les restes de son père soient déposés