Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/336

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son caractère et de ses Mémoires ; sa modération, 18. Est chargé par Charles IX du commandement de La Rochelle ; justifie l’idée que le monarque a conçue de lui, 162. Défend cette place contre le duc d’Anjou ; est obligé de la quitter, et de venir dans le camp du Roi ; ne prend aucune part sérieuse au projet que lui proposent les princes mécontens, 163. Fait naître des obstacles, amène des délais qui forcent les deux partis à faire la paix, 164. Reçoit un coup mortel devant le château de Lamballe, 256. (Introd. aux Mém. de la sec. moitié du seiz. siècle.) — Défait Puy-Gaillard dans le Poitou, XXV, 149. Fait des levées pour se jeter dans les villes rebelles de Flandre, 199. (Mém. de Tavannes.) — Récit de ses conquêtes en Poitou, XXXIII, 493. (Castelnau.) — Sa naissance, sa famille, son éducation ; paroît comme page à la cour de Henri II ; embrasse un plan d’études où il fait de rapides progrès, XXXIV, 85. Fait ses premières armes en Piémont sous le maréchal de Brissac ; trait de piété filiale, 86. Se laisse entraîner dans le parti protestant par d’Andelot, 87. Son admiration pour les qualités brillantes du duc François de Guise ; il accompagne Marie Stuart en Écosse ; se range sous les étendards du prince de Condé ; prend part à la bataille de Dreux ; dirige l’amiral dans sa retraite, 88. Pénètre dans la ville d’Orléans et s’en rend maître ; fait des levées dans les provinces voisines, 89. Donne un des premiers le conseil et l’exemple de se dépouiller pour faire subsister les troupes étrangères conduites par le duc Casimir, 90. Court le plus grand danger en passant la Loire avec ses troupes ; est fait prisonnier à la bataille de Jarnac, puis échangé ; fait le siége de Poitiers avec Coligny ; est de nouveau fait prisonnier à la bataille de Montcontour, 91. Est échangé contre le capitaine Sirozzi ; sa générosité en cette occasion ; remporte une victoire sur Puy-Gaillard ; maintient parmi ses troupes la discipline la plus exacte, 92. Son humanité, sa douceur parmi les horreurs de la guerre ; est blessé au siége de Fontenay, 93. Est chargé de veiller à l’exécution du traité conclu à S.-Germain, 94. Est forcé de rendre la ville de Mons au duc d’Albe, 95. Est appelé à Paris ; sa conférence avec Charles IX ; négocie avec les Rochellois, 96. Sa modération dans cette circonstance, 97. Il accepte le gouvernement de La Rochelle, 98. Bat les troupes royales dans plusieurs sorties, 99. Abreuvé de dégoûts, il se retire dans le camp du Roi ; empêche le complot du roi de Navarre et du prince de Condé d’éclater, 101. Fait accepter aux Rochellois des propositions avantageuses ; se range du parti des politiques ; se rend à La Rochelle ; crée une marine armée de vaisseaux en course, 102. Rejette les propositions de Cather. de Médicis ; va trouver le duc d’Alençon, 103. Lève une troupe de cent cavaliers, et la conduit au roi de Navarre ; fait rejeter l’alliance avec les Turcs, 104. Met l’épée à la main avec Lavardin ; est nommé surintendant de la maison du roi de Navarre, 105. Échappe à la mort que l’ambassadeur d’Espagne à Paris lui prépare ; part pour la Flandre, 106. Est fait prisonnier près de Lille par le marquis de Richebourg ; est enfermé au château de Limbourg ; comment il y est traité, 107. Sa résignation, sa patience, 108. Sa maladie ; il est transféré dans la citadelle de Charlemont, puis réintégré au château de Limbourg, 109. Consent à recouvrer sa liberté par la perte de la vue ; est détourné de cette résolution par sa femme, 110. Comment et par qui il obtient enfin sa liberté, 111. Il est échangé contre le comte d’Egmont, 112. Part avec mad. de La Noue pour Genève ; publie ses discours politiques et militaires ; est chargé de la tutèle de la sœur du duc de Bouillon, 113. Va trouver le duc de Longueville à S.-Quen-