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avec l’empereur Henri, 92. (Notice.) — Fait la guerre aux Français dans la Natolie, 322. Est battu par Pierre Braicquel et Payen d’Orléans, 326. Rompt la trève qu’il a faite avec l’empereur Henri, 422. Se porte du côté de Squise avec toutes ses forces, 424. S’entend avec le roi de Bulgarie pour attaquer tous deux l’empereur Henri, 426. Assiége la ville de Squise et le château de Cibotos, 430. Lève le siége de ces deux places, 440. Envoie des forces contre Nicomédie, 442. Propose une trève qui est acceptée, 446. (Ville-Hardouin.) — Épouse la princesse Marie, fille de l’impératrice Yolande, 467. Montre des prétentions à l’Empire en vertu de ce mariage, 469. Promet sa fille Eudocie à Robert de Courtenay, et meurt, 470. (Décad. de l’Emp. latin.)

Lascaris II (Théodore), fils de Vatace, lui succède, mais n’a pas ses talens ; fait une expédition malheureuse contre les Bulgares ; se laisse dominer par un favori ; disgracie Michel Paléologue, fils d’Andronic ; lui rend ses bonnes grâces ; le disgracie de nouveau ; le rappelle et lui accorde la plus grande puissance, I, 505.

Lasnier, huissier au parlement, est mis en prison pour propos séditieux ; un de ses compagnons en meurt de saisissement, XLVII, 133.

Lassus, tapissier, sort de Paris comme politique ; sa conduite au temps des Barricades, XLVI, 603.

Latins (les) assiégent Constantinople ; sont repoussés dans une première attaque, I, 264. Réussissent dans un second assaut, 270. Se rendent maîtres de la ville, 272. Butin qu’ils y font, 276. Tiennent un conseil pour l’élection d’un empereur, 282.

Latour (le comte Sigismond de), envoyé en Bohême pour entendre les plaintes des habitans divisés entre eux pour cause de religion, parvient à y rétablir le calme, XLII, 104.

Latour, génois, étant près de faire banqueroute est arrêté, mais se sauve chez l’ambassadeur d’Angleterre, XLVIII, 254. Est condamné au carcan et aux galères, XLIX, 219.

Latour (un nommé) se fait tailler de la pierre à l’âge de 78 ans, et guérit parfaitement en six jours, XLVIII, 341.

Latrape (le capit.) est tué avec six des siens en s’emparant d’un ravelin devant la forteresse de Casal, XXIX, 360.

Laubespine (M. de), évêque d’Orléans, se plaint à la Faculté de théologie de Paris d’un nommé Meldrac, envoyé à Orléans par M. de Senlis exprès pour troubler cette ville et dénigrer tout son clergé, XLVI, 223.

Laubies (le seign. de), neveu du seign. de Villebon, est tué au siége de S.-Paul, XIX, 235.

Laulin (Nicolas de), chevalier de Jacq. d’Avesnes, se sauve de la mort, I, 202.

Launay (le seign. de) est tué à la bataille de La Bicoque, XVII, 379.

Launay (Matthieu de), curé de S.-Benoît de Paris, est un des rédacteurs de la déclaration politique des Seize, XX, 265. Prêche un sermon contre Henri IV et son abjuration, 270. (Introd.) — Propose dans une assemblée de cette faction d’élire dix bourgeois sûrs pour former un conseil secret, et de renouveler le serment de l’Union, XL, 364. Le conseil secret des Seize tient ses séances chez lui, 371. Se sauve en Flandre après le meurtre du président Brisson, auquel il a participé, 384. (Mém. de Cayet.)

Launay (le sieur de), commandant de la ville d’Eu, se rend à composition à Henri IV, XLIV, 551.

Launoy (Guill. de) conseille d’assiéger Mantes, IV, 242. Stratagême qu’il emploie pour pénétrer dans cette place, 243. Commence avec les arbalétriers à attaquer les Anglais devant Auray, 292. S’unit aux chefs de bandes qui vont en Espagne, 326.

Launoy (Olivier de), écuyer fla-