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mand, est tué d’un coup de pique à la bataille de Gavre, X, 147.

Launoy (le seign. de), gouverneur de Hollande, attaqué par les Gantois près du village d’Éluersèle, les bat et les met en déroute, X, 108.

Launoy (Matthieu), prêtre et ministre renégat, s’entretient avec M. Cotton, oncle de Pierre de L’Estoile, sur le procès de Brigard, et annonce que ses juges seront tués, XLVI, 184. Préside plusieurs assemblées des Seize, 185. Fait des excuses sur le papier blanc proposé à la signature des Seize par Bussy, assurant qu’on n’y mettra rien que de bon et de saint, 186.

Laurens (Honoré Du), député de Provence, propose aux États de députer vers le légat pour le supplier de ne pas quitter Paris, XLVI, 470.

Laurens (maître), tailleur : arrêté comme politique, est délivré par ceux mêmes qui l’ont arrêté ; il informe le gouverneur de S.-Denis d’un complot contre la vie du Roi, XLVI, 154.

Lautrec (Odet de Foix, seign. de), chargé de veiller à la sûreté du concile de Pise, est blessé dans une émeute en voulant rétablir l’ordre dans cette ville, XV, 110. (Tabl. du règn. de Louis XII.) — Est laissé pour mort à la bataille de Ravennes, XVI, 48. (Mém. de Bayard.) — Assiége Vérone, 364. La prend par composition, 365. (Fleurange.) — Est fait maréchal de France, XVII, 16. Accable d’humiliations le vieux maréchal J. Trivulce, 38. Son excessive sévérité augmente le nombre des partisans de François Sforce ; il revient en France, 48. Est renvoyé à Milan par le crédit de sa sœur ; à quelles conditions il part, 49. Perd Milan et les principales villes du duché, 50. Veut assiéger le château de La Bicoque ; mais, sur les instances des Suisses, livre combat aux ennemis et est mis dans une déroute complète, 51. Revient en France, sollicite une audience du Roi, qu’il n’obtient que par l’entremise du connétable, 52. Se justifie pleinement, 53. Délivre Clément VII, et reçoit ordre d’entreprendre la conquête du royaume de Naples, 99. Soumet presque toutes les places fortes de ce royaume, mais succombe ensuite à la contagion qui consume son armée, 102. (Introd.) — Chargé de porter de l’argent aux Suisses, est averti de la résolution qu’ils ont prise de rompre le traité de paix, et se retire à Galeras, 264. Est envoyé pour assiéger Bresse ; se retire à Crémone, puis à Milan, 273. Est laissé par le duc de Bourbon gouverneur du duché de Milan ; va assiéger Bresse, s’en rend maître, et la remet aux Vénitiens ; se porte sur Vérone, 275. La reçoit à composition, et la remet aussi aux Vénitiens, 276. Est envoyé gouverneur à Milan, 344. Marche contre Prosper Colonne, 351. Se retire à Milan, 352. Abandonne cette place, 354. Rentre dans Crémone qui s’est révoltée, 357. Envoie Frédéric de Bozzolo pour reprendre Parme, ce qui ne peut être exécuté, 358. Se retire dans l’État de Venise, qu’il est bientôt forcé de quitter, 359. Rassemble son armée, envoie demander aux Vénitiens les secours auxquels ils sont tenus, 366. Marche sur Milan, se retire à Cassin, 368. Se voit forcé de livrer combat ; détails sur la bataille de La Bicoque, perdue par l’obstination des Suisses, 377. Se retire en France ; reproches que lui fait le Roi ; comment Lautrec se justifie, 384. Est envoyé au secours de Fontarabie ; comment il parvient à ravitailler cette place, 391, et à défendre Bayonne, 425. Reçoit le commandement de l’armée anglo-française destinée à remettre le Pape en liberté, XVIII, 30. Passe les monts et se rend à Lastisane ; noms des seigneurs qui l’accompagnent, 44. Assiége Bosc, qui capitule, 45. Entre dans Gênes, dont il donne le gouvernement à Théodore Trivulce ; marche sur Alexandrie, 47.