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de Gordes, gouverneur de Mondevi, défait un corps d’Espagnols qui veut reprendre la Marsaille, XXIX, 87. Est fait prisonnier dans Cairas, 89. Est échangé pour Pèdre de La Vera, 118. Découvre une trahison qui a été ourdie dans Mondevi, XXX, 241.

Laval (le sieur de) fait lever le siége de Taillebourg au maréchal de Matignon, XXXVIII, 299. Meurt de douleur de la mort de ses deux frères, 300.

Laval (Guy, comte de), abjure la religion prétendue réformée, XLVII, 490. Est tué en Hongrie, 511.

Laval (le père), capucin, auteur d’un livre intitulé les justes Grandeurs de l’Église romaine, XLIX, 217.

Lavardin (le marquis de) favorise de tout son pouvoir les plaisirs du roi de Navarre, XXXV, 156. (Mém. de Bouillon.) — Tue le jeune Randan, qui fait l’amour à la dame de Lucey, qu’il vouloit épouser ; se retire auprès du roi de Navarre, XLV, 169. (L’Estoile.)

Lavardin (le seign. de) est tué au siége de S.-Lo, XLV, 94.

Lavardin (le seign. de), au moment de la bataille de Coutras, prédit au duc de Joyeuse quelle en sera l’issue, XLV, 340.

Lavarenne, porte-manteau de Henri IV, est chargé par lui de porter à Philippe II les lettres interceptées de Mayenne ; il a de longs entretiens avec ce roi, qui s’ouvre à lui ; il est admis près de l’infante Claire-Eugénie, que les Seize veulent pour reine, XX, 273. Lui remet le portrait de son maître, qu’elle désire connoître ; averti à temps, il quitte furtivement Madrid, et revient en France à travers mille dangers, 274 ; XLII, 80.

Lavedan (le vicomte de) commande les 3,000 hommes de pied que le vicomte de Turenne mène à Moulins au duc d’Alençon, XXXV, 146.

L’Averdy (M. de) a démontré dans un travail plein de recherches savantes la mauvaise foi et la perfidie des juges qui condamnèrent la Pucelle, VIII, 314.

Lavigne (le capit.), du parti de la Ligue, pratique des intelligences avec le chancelier de Navarre, qu’il trompe, et fait prisonnier un de ses frères, XLI, 53.

Laville (Jean), dit Abbé de peu de sens, peintre, arrêté pour crime de vauderie, se coupe la langue pour ne point répondre aux interrogatoires qu’on lui fait subir ; confesse par écrit d’avoir été en vauderie ; dénonce un grand nombre de personnes de tout état, XI, 64. Est condamné à être brûlé ; ses dernières paroles, 72.

Laviorrois, conseiller au parlement de Toulouse, écrit un livre sur la réformation de la justice, XLVIII, 248.

Layet et Froitier accompagnent le Dauphin à l’entrevue de Montereau, VI, 351. S’acharnent sur le cadavre du duc de Bourgogne, 352.

Layneville, capit. normand, se sauve des premiers du combat livré aux Espagnols devant les Açores, XLV, 238.

Leberon (le sieur de), neveu de B. de Montluc, s’empare de l’île de Ré, XXII, 234. Emporte le château de Levignac, 302. Rend par capitulation la ville d’Aiguillon à un parti de protestans, 408.

Lebœuf (Jean), chevalier, livre la ville d’Évreux aux Bretons, XIII, 326.

Lebourg (le capit.) se distingue à la défense de Sienne, XXI, 221.

Lebret, avocat du Roi, raconte à P. de L’Estoile un tour de diablerie arrivé dans la Conciergerie, XLVIII, 259.

Lebrun (Gilles), connétable de France, assiste au siége de Bélinas, II, 363.

Lebrun, riche marchand de la rue S.-Denis, enlève la fille du commissaire Belin, laquelle est perdue pendant trois jours, XLVI, 274.

Lecamus de Beaulieu captive la