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teste contre un projet de traité qu’il a d’abord approuvé, 306. Comment il favorise l’élection du cardinal Pamphile à la dignité de pape, 312 et suiv. Comment il est ensuite traité par le nouveau pape, 318. Il se réfugie en France, 319.

Barberousse (Hariadan ou Cheredin, surnommé), amiral turc, vient avec 110 galères à Marseille ; de là va faire le siége de Nice avec le comte d’Enghien, XIX, 477. Se rend maître de cette ville, et se retire à Toulon, 478. (Mém. de Du Bellay.) — Se rembarque sans avoir fait de grands faits d’armes ; fut toujours mal disposé pour les Français, XX, 435. (Comm. de Montluc.) — C’est à tort qu’on lui attribue le sac de la ville de Nice, XXVI, 119. (Vieilleville.)

Barbezieux (le seigneur de) est fait amiral sur la mer du Levant à la place d’André Doria, et chargé de reprendre les galères du Roi et celles d’André, et de se saisir même de sa personne, XVIII, 68. (Mém. de Du Bellay.) — S’attribue faussement l’honneur de l’entreprise du brûlement du moulin d’Auriole, exécutée par Bl. de Monlluc, XX, 401. (Comm. de Montluc.)

Barbisey, président au parlement de Dijon, chargé des instructions du duc de Mayenne pour le duc de Nemours, est fait prisonnier, XXXV, 385.

Bardachin (le capitaine) se rend maître de la tour de Montségur, XXII, 91. Est blessé à la prise du château de Pene, 100.

Barelle (La), autrement J. Cormery ou Cormére, ministre protestant, est envoyé de la part des églises auprès de Bl. de Montluc pour lui demander justice et protection, XXII, 11. Accueil qu’il en reçoit, sa frayeur, 12.

Baretnau (le capitaine) débarrasse Montluc entouré d’ennemis ; il a son cheval tué sous lui à la bataille de Ver, XXII, 145.

Barge (La), chevalier de l’ordre du Roi et gouverneur du Vivarais, convoque les États à Tournon, coupe tout commerce avec la ville d’Annonay, XXXIV, 333. Essaie inutilement d’assiéger cette ville, 334.

Barillère (La) apostrophe deux jésuites, et leur indique un marchand de couteaux de Châtellerault, XLIX, 163.

Barjac (Charles de) se rend à Annonay, pille Vaucanse, brûle les villages de Maumeyre, Villeplas, etc., XXXIV, 327. Fait prisonniers le capitaine Érard et son lieutenant Lachan, et les fait pendre, 329. Est blessé à la suite d’un combat livré près d’Annonay, où il meurt regretté des deux partis, 331.

Barlemont (Lancelot de) entre dans la ville de Lintz, à laquelle il donne des vivres et de l’argent, X, 294.

Barmontet (le sieur), capitaine du parti du Roi, contribue à la victoire de la bataille d’Issoire ; est nommé gouverneur de cette place, XL, 47 et 51.

Barnevelt est arrêté par l’ordre du prince Maurice, et condamné à mort, L, 420.

Baron (le capit.) est nommé gouverneur de Montmédy, XXVI, 461.

Baron, secrétaire du cardinal Pellevé, et Lorrain de nation, révèle un projet contre le Roi, XLVI, 573.

Baronius. Écrits en réponse à sa défense du Pape dans l’affaire des Vénitiens, XLVIII, 26.

Barons. Sous ce titre on comprenoit en France tous les gentilshommes élevés en dignités, III, 176. Ils étoient aussi reconnus sous le nom de bannerets, et formoient le premier degré de la noblesse ; dans le royaume d’Arragon ils étoient appelés ricos hombres, ou les riches hommes, 177. Voy. l’art. Bannerets.

Baronville, fils de Montescot, tue en duel le sieur d’Arques, XLIX, 215.

Barri (le capitaine) est décapité à Montpellier pour avoir voulu livrer cette ville aux protestans, XXXIV, 376.

Barricades (la journée des). À quelle occasion et par qui elle est