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Châlons avec la duchesse sa femme trouver le duc de Bourgogne ; détails sur cette visite, IX, 299. Quel en étoit le but, 300. Le duc de Bourgogne refuse de reconnoître son père Amédée pour pape ; retient à sa cour le comte de Genève son fils, 304.

Louis, duc de Bavière, est envoyé avec l’archevêque de Metz pour demander Marie, duchesse de Bourgogne, en mariage avec le fils de l’empereur Maximilien d’Autriche, X, 422.

Louis de Nassau, frère du prince d’Orange, sollicite à la cour des secours pour les protestans des Pays-Bas, XX, 141.

Louis (de), secrétaire du Roi, fait amende honorable nu en chemise, et est chassé de la vicomté de Paris pour faux et concussions, XLVII, 423.

Louise de Lorraine, reine de France, femme de Henri III, meurt à Chenonceaux, XXXVI, 489. Sa modestie ; elle fonde à Bourges un couvent de capucines, 490. (Pontlevoy.) — Vient trouver le Roi à Mantes, et le prie de faire justice des assassins d’Henri III et de rendre à son corps la sépulture royale, XLII, 116. (Mém. de Cayet.) — Écrit au Roi pour lui demander justice du prieur des jacobins, principal instigateur du meurtre de son mari, XLVI, 19. Sa mort, XLVII, 314. (L’Estoile.)

Louise de Savoie, mariée au comte d’Angoulême, devient veuve à 18 ans ; est reléguée au château de Cognac, où elle se dévoue à l’éducation de ses enfans ; revient à la cour de Louis XII, où elle brille par son esprit et par ses grâces ; ses démêlés avec Anne de Bretagne ne lui font rien perdre de l’amitié du Roi ; compose le journal de quelques circonstances importantes de sa vie, XVI, 386. Son amour maternel y domine, 387. (Notice.) — Rencontre son fils François I à Sisteron, lorsqu’il revient d’Italie, 399. Le reçoit magnifiquement à Cognac, 401. (Louise de Savoie.) — Unie momentanément à la comtesse de Châteaubriant, elle pousse le Roi à la guerre, XVII, 43. Se décide à perdre Lautrec, 49. Est forcée d’avouer qu’elle a reçu 400,000 écus destinés à faire la guerre, 53. Conçoit la haine la plus violente pour le connétable de Bourbon, qui a refusé les offres qu’elle lui a fait faire, et jure sa ruine, 58. Prétend à la succession de Suzanne son épouse, et le fait priver de toutes ses pensions, 59. Sa douleur en apprenant la perte de la bataille de Pavie ; sa lettre à l’empereur Charles-Quint, 69. Emploie tous les moyens de sauver son fils ; s’adresse même à Soliman, empereur des Turcs, 75. Dangers de l’État contre lesquels elle se voit obligée de lutter, 78. Mécontentement qui se manifeste contre elle, 79. Parvient à calmer la fermentation ; dessein qu’elle conçoit pour rapprocher d’une manière plus intime François I et Charles-Quint, 80. Accuse mad. de Châteaubriant des malheurs de l’État ; piége qu’elle lui prépare, 89. Se rend à Cambray, où elle traite de la paix avec Marguerite d’Autriche, 103. Sa mort, son caractère, 111. (Introd.) — Après la bataille de Pavie, elle convoque à Lyon les princes et seigneurs qui sont demeurés en France, XVIII, 3. Pourvoit à la défense du royaume ; fait revenir de Naples le duc d’Albanie, 4. Fait un traité avec le roi d’Angleterre, 5. Se rend à Cambray, où elle conclut avec Marguerite d’Autriche un traité de paix entre le Roi et l’Empereur ; conditions de ce traité, 87. (Du Bellay.)

Louise de Vaudemont, nièce du duc de Guise, épouse Henri III, roi de France ; son éloge ; son attachement pour le Roi, XX, 178.

Louvet, ministre du Roi, lui choisit un nouveau favori pour veiller à ses intérêts pendant son absence, VIII, 22.

Louviers (Charles de), échanson du Roi, remporte le prix aux joûtes faites à Paris devant l’hôtel