Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/387

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

celier et du président Jeannin, 437. Se rassure par les rapports qui lui viennent sur les dispositions des provinces, 439. Envoie l’évêque de Luçon à Angoulême auprès de la Reine mère, contre l’avis de ses confidens et des ministres, 442. Perd l’occasion de ruiner la Reine et ses propres ennemis ; conclut un traité désavantageux, 443. Fait proposer une entrevue à la Reine mère avec le Roi, 447. Son entrevue avec elle, 448. Ses visites à l’évêque de Luçon ; comment ils se séparent, 449. Il se fait donner le gouvernement de Picardie et le château de Ham ; donne à M. de Montbazon le gouvernement de l’Île de France ; achète Boulogne et Calais, etc., 451. Conseille au Roi de remettre M. le prince en liberté ; va le chercher lui-même à Vincennes, 453. Se fait créer duc et pair, 454. Assure en particulier les Espagnols que le Roi favorisera l’Empereur en tout ce qu’il pourra contre l’électeur palatin, 456. Laisse au chapitre de l’ordre du Saint-Esprit le pouvoir de créer de nouveaux chevaliers ; pourquoi, 459. Fait recevoir le premier après les ducs le comte de Rochefort son beau-frère ; est député avec M. le prince auprès de l’assemblée de Loudun pour la faire séparer, 460. Ses alarmes en apprenant la ligue qui se forme contre lui ; il fait proposer à la Reine mère une nouvelle entrevue, 462. Fait envoyer en Allemagne le comte d’Auvergne et mess. de Béthune et de Préaux pour y favoriser la ligue catholique, 463. Envoie M. de Blainville auprès de la Reine mère pour tenter encore les voies de la douceur, 466. Fautes qu’il commet, 467. Marie son plus jeune frère M. de Brantès avec l’héritière de Luxembourg, 468, et madem. de Combalet sa nièce avec M. de Canaple, second fils de M. de Créquy ; avantages faits à M. de Canaple ; d’après les avis de M. le prince, il prend de sages mesures contre les entreprises des partisans de la Reine mère, 469. Dispose le Roi, malgré toutes les oppositions qu’on y fait, à consentir aux offres de la Reine mère, 479. Pourquoi il consent ensuite à ne point attendre les députés envoyés à la Reine, 481. Après l’affaire du Pont-de-Cé renvoie à la Reine tous les prisonniers de sa maison et tous les drapeaux où sont ses armes, 488. Voit souvent M. l’évêque de Luçon à Brissac, 490. Fait donner le gouvernement de Blaye à M. de Brantès, 492. Envoie en Béarn à M. de La Force offrir les meilleures conditions, 494. Comment il est poussé à la guerre, contre son inclination, par les protestans, par ses amis, et par le Roi lui-même, 499. Mène le Roi en Picardie visiter les places fortes, 501. Se fait nommer connétable, 502. Se décide à aller faire le siége de Montauban, 516. Noue une conférence avec M. de Rohan, 523. Mort de M. de Luynes ; circonstances sur sa maladie, 525. Son caractère, 526. Il réunit quelque temps les sceaux à la connétablie, 527.

Luzarche (le capit.) défait 400 Bourguignons près de Moncornet dans les Ardennes, XXXI, 32.

Lyoux (le capit.), gouverneur d’Albe, défait un parti d’ennemis près de cette ville, XXX, 136.


M

Machault, sieur de Romaincourt, a long-temps conservé le manuscrit des Mémoires sur Boucicaut, publiés en 1620, VI, 169.

Machicourt (Girard de) prend la croix, I, 104. Meurt à Constantinople, 308.

Madaillan (le sieur de) charge trois enseignes de gens de pied du parti protestant fortifiés à S.-Seve-