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çoit la défense de s’approcher de Rome ; il écrit à Sixte-Quint, et parvient à lui donner une juste idée des affaires de France, XX, 235. (Introd.) XXXVI, 193. — XXXIX, 312. Il obtient une audience du Pape, et l’éclaire sur l’état de la France, XL, 87. Se retire de Rome après la mort de Sixte V, 91. Revient trouver le Roi à Chartres ; écrit au nouveau Pape une lettre sur les affaires de France ; texte de cette lettre, 192. Est envoyé à Rome de la part du Roi pour rendre à S. S. témoignage de respect et de dévotion, XLIII, 401. (Mém. de Cayet.) — Publie en son nom, et au nom de tous les princes et officiers de la couronne, une lettre adressée au Pape pour le détromper sur les mauvais desseins de la Ligue, XLVI, 150. (Mém. de L’Estoile).

Luxembourg (Franç. de), pressé par le Roi d’épouser son ancienne maîtresse Renée de Châteauneuf, obtient un délai de trois jours, et se retire en diligence de la cour, XLV, 113.

Luxembourg (Sébastien de) est frappé d’un coup de mousquet au siége de S.-Jean-d’Angély, au moment où il se moque des huguenots, XLV, 67.

Luy (le capit.), à la tête de 300 Suisses, opère une belle retraite devant le marquis de Malespine, XXIX, 94.

Luynes (Honoré d’Albret, seign. de), remet la ville de Pont-Saint-Esprit sous l’obéissance du Roi, XLV, 145. Vers à cette occasion, 146.

Luynes (M. de) est nommé par le Roi pour avoir soin de ses oiseaux, L, 138. Gagne l’affection du prince, 268. Obtient le château d’Amboise par le moyen de Sauveterre, 270. Est envoyé à la frontière avec une lettre du Roi pour recevoir l’Infante devenue reine de France, 317. Achète la capitainerie du Louvre pour pouvoir y loger, 341. Se décide à se défaire du maréchal d’Ancre, et se lie dans ce dessein avec M. de Vitry, 342. Ses irrésolutions, 363. Deageant, Marsillac et Tronçon, ses principaux confidens, le rassurent et l’encouragent ; difficultés de l’entreprise, 364. Assemble avec M. de Vitry ceux dont il est résolu de se servir pour l’exécution ; leurs noms, 374. Après la mort du maréchal d’Ancre il fait rappeler les anciens ministres, 377. Est blâmé par beaucoup de gens de la manière dont il s’est défait de son rival, 381. Prend en main le gouvernement des affaires, 382. Change le confesseur du Roi ; fait congédier plusieurs autres personnes attachées à la cour par leurs fonctions, 386. Oublie tous ses anciens amis, 387. Traite aussi mal la Reine mère à Blois qu’à Paris, 392. Fait rendre un arrêt du conseil portant rétablissement entier de l’exercice de la religion catholique dans tout le Béarn, et des ecclésiastiques dans tous leurs biens, 395. Fait renouveler l’édit des duels, 397. Songe à se marier à madem. de Montbazon ; lui fait donner auparavant le tabouret, 399. Fait assembler les notables à Rouen, 405. Fait nommer l’évêque de Paris cardinal, 414. Envoie M. de Modène en Piémont, pour voir si les Espagnols exécutent le dernier traité ; songe à marier la seconde sœur du Roi au prince de Piémont, 415. Fait donner à son frère M. Cadenet, et à M. Du Vernet son beau-frère, la garde de M. le prince au bois de Vincennes ; fait donner à M. du Maine le gouvernement de Guyenne et le Château-Trompette, 419. Prend pour lui le gouvernement de l’Île de France avec celui de Soissons, 420. Sa conduite envers la Reine mère, 424. Fait tout ce qu’il peut pour retenir M. d’Épernon à Metz, 432. Envoie faire à la Reine mère des protestations de service fort expresses, 433. Son étonnement et son embarras à la nouvelle de l’évasion de la Reine mère, 436. Mesures de précaution qu’il prend, de l’avis du chan-