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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/409

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Va en Allemagne avec son père ; regagne tout le duché d’Autriche ; assiége Albe-Regale, 467. La prend d’assaut, 468. S’assure par un traité l’héritage du royaume de Hongrie ; fait armes en lices closes, et y acquiert un grand honneur ; visite son empire, 469. Y établit la tranquillité ; entre en Suisse avec une armée, 470. Pourquoi il n’y obtient pas de succès ; fait la paix avec les habitans, 471. Mérite d’être surnommé Cœur d’acier, 472. Noms des serviteurs qui souffrirent pour lui dans sa prison, et pour lesquels il conserva un tendre souvenir, 473. (Mém. de La Marche.)

Il demeure maître du champ de bataille à Guinegaste, XII, 357. Se marie en secondes noces avec Blanche-Marie Sforce, fille du duc de Milan, XIII, 21. (Mém. de Comines.) — Envoie au corps municipal de Paris une lettre par laquelle il menace de déclarer la guerre si l’on n’ôte pas sur-le-champ le gouvernement à Madame, XIV, 162. Attaque sans succès les frontières de la Picardie ; n’ayant plus d’argent, licencie son armée, 164. Réunit une nouvelle armée, et recommence la guerre sur les frontières de la Picardie, 167. Envoie quinze cents lances en Bretagne, 168. Arrêté à Bruges par ses sujets révoltés, subit une captivité de quatre mois, 173. Délivré par son père, rallume la guerre, prend S.-Omer, est battu près de Béthune ; entame des négociations, 183. Conclut la paix, 187. Envoie en France trois seigneurs qui passent en Bretagne, où l’un d’eux épouse la duchesse pour Maximilien, 188. (Tabl. du règn. de Ch. VIII.) — Paroît en armes sur les frontières d’Italie ; déclare la guerre aux Vénitiens, qui lui refusent le passage ; quitte son armée, dont le lieutenant général est battu par les Français et les Vénitiens ; traite avec le sénat de Venise ; obtient la tutèle de son petit-fils l’archiduc Charles, XV, 77. Donne à Louis XII une nouvelle investiture du duché de Milan, 86. Assiége en vain Padoue, 87. Conseille à Louis XII d’employer des moyens pacifiques contre le pape Jules, 106. Prend avec la France toutes les mesures nécessaires pour assembler un concile à Pise, 107. N’ayant pu s’emparer de Padoue ni de Trévise, son zèle se ralentit, 108. Propositions révoltantes qu’il fait faire à Louis XII, 114. Envoie l’ordre à 4,000 Allemands qui sont dans l’armée française de la quitter sur-le-champ, 118. (Tabl. du règn. de Louis XII.) — Description de l’artillerie de l’Empereur ; nombre des guerriers qu’il mène avec lui dans le Padouan, 280. De l’avis du seigneur Constantin, il se décide à assiéger Padoue, 281. Détails sur ce siége, 284. Les barrières de la ville sont emportées par les Français, 287. L’Empereur délibère de donner un assaut général ; lettre qu’il écrit, à ce sujet, au seigneur de La Palice, 304. Pourquoi l’assaut n’a pas lieu, 308. Se retire en Allemagne, ordonnant à son lieutenant général et au seigneur de La Palice de lever le siége, 310. (Mém. de Bayard.) — Laisse perdre toutes les villes que lui rend Louis XII ; réclame les secours de ce prince pour les reprendre, XVI, 180. Passe en Italie, met le siége devant Padoue, 183. Pourquoi ce siége est levé, 185. Assiége et prend Térouane et Tournay avec le roi d’Angleterre, 257. Se retire en Allemagne, et Henri VIII repasse la mer, 260. Passe en Italie à la tête de 50,000 hommes ; vient camper sur l’Adda, 311. Passe cette rivière et se porte sur Milan, 312. Tire deux coups de canon sur la ville, et se retire en Allemagne, 313. Sa mort ; ce prince fait porter partout avec lui le coffre où il vouloit être enseveli, 329. (Fleurange.)

Maximilien II, fils de l’empereur Ferdinand, succède à son père, XXIV, 415.

Maximilien, archiduc d’Autriche, élu roi de Pologne, est battu et fait prisonnier par le grand chancelier Zamoski, XXXIX, 362 et