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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/414

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avec le Roi, mais à condition qu’il tiendra sa négociation secrète, 166. Fait jurer et promettre par écrit aux gouverneurs et capitaines des villes de Picardie de demeurer unis avec lui, et de ne point traiter avec les étrangers, 180. Après la mort du cardinal de Bourbon, il refuse de reconnoître un prince catholique de la même maison, 185. Tente une entreprise sur Compiègne et sur Mantes, 234. Se rend en Lorraine pour conférer avec le duc et recevoir les forces que le pape Grégoire XIV lui envoie, 238. Il excite la défiance et le mépris des ligueurs, 240. Se rend à Paris pour châtier les mutins et renverser leurs desseins, 241. Il en fait pendre quatre dans la salle basse du Louvre, 242. Il pardonne à Bussy-le-Clerc, qui lui remet la Bastille, 243. Va au secours de Rouen, 244. Autorise M. de Villeroy à traiter de la paix, sous la condition que le Roi se fera catholique, 254. Assiége et prend Caudebec, où il est blessé ; se rend à Paris, 268. S’oppose à l’élection du duc de Guise en qualité de roi de France, et détermine l’assemblée des États de la Ligue à rejeter les propositions de l’Espagne concernant cette élection, 336. Fait demander au Roi une prolongation de la trève, dans l’intention de se mieux préparer à la guerre, 369. Son désir de régner l’empêche de traiter de la paix avec le Roi, et de recueillir tous les avantages qu’il en auroit pu obtenir pour lui et les siens, 379. (Villeroy.) — Il s’empare de Gournay par capitulation, 556, et des villes de Neufchâtel, Gamache et Eu, 557. Pourquoi il est plus propre à l’attaque des places qu’aux actions de la campagne, 579. Après sa défaite à Arques, il se retire sur Amiens, 586. (Mém. du duc d’Angoulême.) — Il se marie à Meudon avec Henriette de Savoie, veuve du seigneur de Montpesat, XLV, 139. Reçoit l’amirauté à la survivance du comte de Villars, son beau-père, 169. Prend Castillon, où il ne trouve que des pestiférés, 319. Enlève de force la demoiselle de Caumont, âgée de douze ans, pour la marier à son fils, âgé de six, 320. Se plaint en colère au Roi que le comte de Maulevrier et l’abbé d’Elbène attribuent à la Ligue une entreprise contre la vie de S. M., 326. Fait le serment de lieutenant général de l’état et couronne de France, qualité qui lui est déférée par les Seize, 395. Remet en liberté plusieurs prisonniers moyennant quelques sommes, 396. Charge et défait le comte de Brienne entre Tours et Amboise ; enlève le faubourg de S.-Symphorien de Tours ; se retire en apprenant que le roi de Navarre est dans cette ville, 399. Vers faits sur sa fuite de devant Senlis, 401. Indiscipline et impiété de ses troupes, 405. Fait déclarer roi de la Ligue le vieux cardinal de Bourbon, et prend pour lui toute l’autorité, XLVI, 9. Refuse de traiter avec le roi de Navarre, 10. Promet aux ligueurs l’assemblée des États du royaume ; pu̟blie qu’il va à la poursuite du roi de Navarre, 11. Est repoussé avec perte près de Dieppe, 13. Prend la route de la Picardie, 14. Vient à Paris rassurer cette ville, 16. Écrit à tous les gouverneurs et commandans des villes d’assembler le ban et l’arrière-ban pour soutenir le droit du cardinal de Bourbon, 25. Bat la ville de Meulan, 30. Manque une entreprise sur la ville de Senlis ; promet aux habitans de Paris un prompt secours, et leur abandonne sa femme et ses enfans pour gages de sa promesse, 59. Renvoie le cardinal de Gondi et l’archevêque de Lyon vers le Roi, avec déclaration qu’il ne désire que la paix, et donne en même temps avis aux Seize qu’il mourra plutôt que de la faire, 92. Revient à Paris, où il est peu fêté, 99. Envoie, aux officiers de la cour du parlement et des comptes qu’il soupçonne d’être politiques, des lettres de cachet par lesquelles il les interdit de leur état, et leur ordonne de sortir de Paris, 130. Pille et saccage Château-Thierry, 137. Sollicite du nonce du Pape