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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/413

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Louvre Anroux, Émonot, Hameline et Louchard, complices du meurtre du président Brisson, 382. Fait rechercher les autres, qui parviennent à se sauver, 384. Publie une lettre d’abolition en faveur des Seize, 387. Casse les assemblées du conseil de cette faction ; nomme quatre présidens du parlement, 391. Plaintes d’un auteur de la faction des Seize sur la conduite du duc, 395. Comment ceux du parti du duc le justifient, 400. Ses conférences avec le duc de Parme au sujet du mariage de l’infante d’Espagne avec un prince français de la Ligue, XLI, 8. Entre dans Rouen avec les ducs de Guise et d’Aumale, 51. Est forcé d’abandonner Caudebec et de se retirer sur Paris, 64. Retourne à Rouen avec 2,000 Suisses, 73. Est accusé par les Seize de traiter secrètement avec le Roi ; gagne par argent le gouverneur de Pont-Audemer, qui lui remet cette place, 74. Assiége Quillebœuf, 75. Est forcé de s’éloigner, 79. Nomme trois maréchaux et un amiral de France ; fait brûler sur les degrés du Palais l’arrêt du parlement séant à Châlons, contre la bulle du Pape portant autorisation au cardinal légat d’assister les ligueurs dans l’élection d’un roi ; texte de l’arrêt de Châlons, 174. Se voit forcé de publier une déclaration pour convoquer les États afin d’élire un roi ; texte de cette déclaration, 209. Texte de sa réponse à la proposition que lui ont faite les princes, prélats, seigneurs, etc., attachés au parti du Roi, 259. Ouvre les yeux du cardinal légat sur les desseins des Seize, 383. Sa lettre au roi d’Espagne sur la perte de la ville de Dreux par les ligueurs, 417. Rejette, ainsi que les princes de sa maison, et même les Seize, la proposition que font les ambassadeurs d’Espagne de déclarer reine de France l’Infante, en la mariant avec l’archiduc Ernest d’Autriche, 421. Fait venir chez lui le président Le Maistre, auquel il reproche l’arrêt rendu par le parlement au sujet du maintien de la loi salique ; conférence à cette occasion, 439 et suiv. Refuse la nomination d’un roi par les Espagnols ; sa lettre au roi d’Espagne à ce sujet, 448. Il signe avec Henri IV une trève générale pour toute la France, 463. Fait renouveler le serment de la Ligue, 472. Fait publier le concile de Trente, 473. S’excuse de trahison auprès du roi d’Espagne, concernant la prison du duc de Nemours, XLII, 28. Envoie l’ordre à plusieurs du parti des politiques de sortir de Paris, 89. Embarras de sa position, 90. Ne trouvant plus de sûreté dans Paris, il se retire à Soissons, 186. Le parlement rend un arrêt contre lui, et lui enjoint de reconnoître le Roi, sous peine d’être dégradé de noblesse et déclaré roturier, 213. Va trouver à La Capelle le comte de Mansfeld, qui lui donne quelques troupes pour secourir la ville de Laon, 239. Fait au roi d’Espagne une ample réponse aux accusations dont le duc de Feria l’a chargé, 346. Se rend à Dijon, y fait son entrée ; circonstance qui fait présager des malheurs à la Bourgogne, 371. Fait demander au Roi la paix à des conditions qui sont refusées, 372. Après la perte de la bataille de Fontaine-Française, se retire à Châlons-sur-Saône, XLIII, 45. Fait sa soumission au Roi ; conditions qu’il en obtient 233. Vient baiser les mains du Roi à Monceaux, 251. Obtient le gouvernement de l’Île de France, Paris excepté ; marie son fils avec la fille du duc de Nevers, 252. (Mém. de Cayet.)

Il refuse d’entrer en traité avec Henri IV ; raisons de son refus, XLIV, 126. Il prie M. de Villeroy de faire en sorte qu’on ne lui envoie plus de messagers de la part du Roi, 129. Délibère dans son conseil sur la proposition qui lui est faite de la part du Roi par le sieur Belin ; avis divers, 140. Il est reçu avec magnificence dans la ville d’Amiens, 145. Revient à Paris après que le Roi en a quitté les faubourgs, 146. Consent que M. de Villeroy traite de la paix