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honneur dans la victoire remportée sur l’armée du Pape devant Bologne, 370. Est nommé maître et garde du camp, pour le combat à outrance entre deux chevaliers espagnols, 372. Oblige le chevalier Sainte-Croix à rendre les armes à son vainqueur, 374. Défait 500 Suisses devant Milan, 377. Met en fuite les Vénitiens qui viennent pour défendre Bresse, dont Gritty s’est rendu maître, 391. Ouvre un avis sur les dispositions prises pour livrer un assaut à la ville, et se charge du poste le plus périlleux, XVI, 3. Passe le premier rempart ; est blessé à la cuisse, et mis hors de combat, 7. Est porté dans la maison d’un homme fort riche de la ville ; rassure sa femme et ses deux filles, 10. Sa fermeté lorsqu’on lui retire de la cuisse le fer qui l’a blessé, 11. Fait chercher le maître de la maison où il loge ; sa générosité envers ses hôtes, 12. Refuse 2,500 ducats que lui offre son hôtesse, 18. Sur ses instances, les accepte, et fait venir les deux demoiselles, 19. Leur donne à chacune 1000 ducats pour leur mariage, et les 500 qui restent à la mère, pour les distribuer aux maisons religieuses qui ont été pillées, 20. Fait venir l’hôte, dîne avec lui, et lorsqu’il est prêt à partir reçoit des deux demoiselles deux bracelets et une bourse, qu’il accepte avec reconnaissance, 21. Se rend au camp, où il est accueilli avec des transports de joie, 22. Son discours à l’assemblée des capitaines sur la nécessité de livrer bataille, 26. Son avis est suivi, 27. Il vient au secours de la troupe du baron de Béarn, et repousse les Espagnols jusque dans leur camp, où il abat tentes et pavillons, 32. Se retire sans avoir éprouvé aucune perte, 33. À la fin de la bataille de Ravennes, conseille à Gaston de rester sur le champ, 44. Se rend maître du cheval sur lequel veut fuir Raymond de Cardonne ; laisse passer sans les connoître les deux enseignes qui ont tué Gaston, 49. Rend compte à son oncle de la bataille de Ravennes, 50. Avec 30 hommes d’armes arrête pendant deux heures l’armée des Suisses sur le pont de Pavie ; a deux chevaux tués sous lui, 56. Est blessé, 57. Se rend à Grenoble auprès de son oncle, évêque de cette ville ; y tombe malade, 58. Singulière prière qu’il adresse à saint Antoine, 59. De la fille naturelle qu’il eut en Italie, 60. Sa conduite noble et généreuse envers une demoiselle de Grenoble, 62. Comment il assiége une petite place appelée le Pont-la-Reine, et s’en rend maître, 65. Sa conduite envers un lansquenet qui veut le tuer, 68. Il s’acquiert beaucoup d’honneur dans la retraite de la Navarre, 71. Se rend prisonnier à la bataille de Guinegaste, 79. Est présenté à l’Empereur et au roi d’Angleterre ; sa conversation avec eux, 80. En est honorablement traité, 82. Reste six semaines au pays de l’Empereur, 83. Comment il fait prisonnier dans Villefranche le seigneur Prosper Colonne, 92. Danger qu’il court à la bataille de Marignan, 100. Arme chevalier le roi François I après la bataille, 108. Est envoyé pour garder la place de Mézières, 110. Sa réponse au comte de Nassau et au seigneur Francisque, qui l’envoient sommer de rendre cette place, 112. Ruse qu’il emploie pour faire lever le siége aux ennemis, 114. Reprend la ville de Mozon ; est fait chevalier de l’ordre du Roi ; est envoyé à Gênes, 118. Reçoit de l’amiral Bonnivet la commission d’aller garder Rebec, 120. Y tombe malade, 121. Est attaqué par les Espagnols, 122. Se retire à Biagres, 123. Est blessé pendant la retraite de l’armée française, 124. Son discours au connétable de Bourbon avant de mourir, 125. Éloge que fait du chevalier le marquis de Pescaire, 126. Regrets des Espagnols, 127. Plaintes et douleur dans l’armée française, 128. Ses dernières paroles à son maître d’hôtel, auquel il se confesse, 129. Ses adieux au seigneur d’Alègre ; détails sur ses derniers momens, 130.