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le prix de cette rançon à ses soldats, sans rien garder pour lui, 234. Instruit que Sotomayor se plaint du traitement qu’il a reçu pendant sa prison, lui écrit pour lui demander réparation, ou un combat à mort, 236. Détails sur le combat singulier qui a lieu, 239. Comment le bon chevalier tue Alonse Sotomayor, 240. Autres détails donnés par Champier, 241. Combat de 13 Espagnols contre 13 Français, dans lequel le chevalier Bayard et le seigneur d’Oroze, tous deux à cheval, résistent aux 13 Espagnols et gardent l’honneur du combat, 246. Surprend dans une embuscade un trésorier espagnol qui portoit 15,000 ducats à Gonzalve de Cordoue, 248. En donne généreusement la moitié au chevalier Tardieu, et distribue le reste à la garnison de Monervyne, 250. Sa conduite envers le trésorier, qu’il renvoie aux siens, 251. Défend seul un pont sur le Garillan contre 200 chevaux espagnols, 253. Est fait un moment prisonnier, puis délivré par les siens, 255. Reste un an dans le royaume de Naples, après la retraite des Français ; y fait plusieurs exploits avec Louis d’Ars, 256. Tombe malade à Lyon d’une fièvre quarte qu’il garde sept ans, 260. Suit néanmoins l’armée française en Italie, 261. Gravit une montagne où se tiennent les Génois ; les met en fuite, et s’empare d’un bastion qui défend la ville de Gênes ; noms de ceux qui l’accompagnent dans cette affaire, 262. Est envoyé par le Roi avec 500 hommes de pied pour occuper des garnisons au duché de Milan, 268. Accompagne La Palice qui va au secours de l’Empereur, 276. Emporte les barrières de la ville de Padoue par assaut, 287. Surprend par embuscade le capitaine Mallevêche, l’attaque, et lui fait plus de prisonniers qu’il n’a lui-même de monde, 292. Revient au camp, où il reçoit des éloges de l’Empereur, 295. Attaque avec ses 30 hommes d’armes le capitaine Scandrebec et ses Albanais, et le capitaine Rinaldo Contarini ; les défait, et les fait prisonniers, 298. Se rend maître d’un château appelé Bassan, 301. Opinion du bon chevalier dans une assemblée des capitaines, à l’occasion d’une lettre de l’Empereur adressée au seigneur de La Palice, 306. Est envoyé tenir garnison à Vérone, 312. Surpris dans une embuscade, se défend vaillamment, a son cheval tué sous lui, est fait un moment prisonnier, est délivré par le capitaine Pierre-Pont ; combat de nouveau, 314. A encore son cheval tué, est enveloppé, et débarrassé par le bâtard Dufay, 315. Se retire en bon ordre, 316. Tombe pendant la nuit sur les gens de pied qu’il a combattus pendant le jour, et les tue presque tous, 317. Averti à temps d’une embuscade que veut lui dresser le capitaine Moufron, fait ses dispositions, renverse et met en pièces toute la troupe de ce capitaine, 321. Fait pendre et étrangler deux des aventuriers qui, mettant le feu à l’entrée de la grotte de Longare, y ont étouffé 2,000 personnes, 330. Est envoyé à Ferrare avec plusieurs seigneurs et des trouupes françaises et suisses, 334. Communique au duc de Ferrare le dessein qu’il a formé d’enlever le pape Jules, 346. Se dispose à l’exécuter ; pourquoi il échoue, 347. Conseil qu’il donne au duc de Ferrare pour faire lever le siége de la Bastide, 354. Ce conseil est suivi, 355. Autre conseil qu’il donne pour l’attaque, 356. Comment il est heureusement exécuté ; perte que fait la troupe ennemie, 358. Le chevalier repousse avec horreur la proposition de faire empoisonner le Pape, et conjure le duc de Ferrare d’y renoncer, 365. Accompagne le seigneur de La Palice dans le Frioul ; passe la Piave sur un pont de bateaux avec le capitaine Fontrailles ; commande 100 hommes d’armes du duc de Lorraine, 368. Pertes d’hommes que le Roi de France éprouve dans le Frioul, 369. Le bon chevalier s’acquiert un grand