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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 1re série, tome 52.djvu/433

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II dans un tournoi, XX, 84. Soutient le siége de Rouen contre l’armée royale, 108. Est déclaré criminel de lèse-majesté par le parlement de Paris, 138. Investi dans Domfront, il est obligé de se rendre ; est ensuite décapité, 176. (Introd.) — Défait le seign. Terride à Orthez, XXII, 330. Le prend prisonnier, 340. Entre dans Euse et Condom, 390. (Comm. de Montluc.) — Est forcé par le grand prieur de se retirer dans Rouen, XXXIII, 200. À la prise de cette ville par le duc de Guise, se sauve sur une galère, 212. Est défait au village de La Motte-S.-Éloi ; manque son entreprise sur Lusignan, 439. Est envoyé en Gascogne pour s’opposer aux desseins de Terride, 458. Le force à lever le siége de Navarreins ; prend la ville et le château d’Orthez ; fait le comte prisonnier et se retire à Nérac, 472. (Castelnau.) — Se réunit à l’armée des princes, XXXIV, 284. (La Noue.) Détails sur sa condamnation et son exécution, XLV, 97. (L’Estoile.)

Montholon, garde des sceaux sous François I, remet aux habitans de La Rochelle l’amende à laquelle ils ont été condamnés pour leur révolte, et que le Roi lui avoit allouée, XVII, 165.

Montifault (le sieur de) est blessé près de Montcornet dans les Ardennes, dans un combat livré à 400 Bourguignons, XXXI, 33.

Montigni, ministre protestant, entre au Châtelet pour y exhorter à la mort un gentilhomme de sa religion condamné à être décapité, XLVII, 200.

Montigny (Everard de) prend la croix, I, 102.

Montigny (le comte de), frère du comte de Lalain, gouverneur du Hainaut, vient à La Fère conférer avec le duc d’Alençon des moyens de remettre en ses mains le Hainaut et l’Artois, XXXVII, 138.

Montigny, mestre de camp, est tué dans une sortie au siége d’Amiens, XLIII, 353.

Montigny (le sieur de) est tué au siége de Rouen, XLVI, 231.

Montigny (le maréchal de) fait le siége de Nevers, où mad. de Nevers est enfermée, L, 372.

Montjoye, héraut du Roi, attaché au connétable de S.-Paul, vient à Paris chargé de lettres de la part du comte de Merle, fils du connétable, pour le président Ladrièche ; est arrêté, interrogé et gardé 20 jours, XIV, 18.

Montjoye (milord), commandant de la cavalerie anglaise, est fait prisonnier dans l’île de Ré, LI, 58.

Montlaur (la marq. de), épouse du colonel d’Ornano, s’oppose au mariage de Monsieur avec mademoiselle de Montpensier, et entretient son mari dans cette opposition, LI, 5.

Montleson (le comte de) seconde le captal de Buc à la bataille de Navarette, IV, 410.

Montlhery : relation de la bataille livrée près de cette ville entre Louis XI et le comte de Charolois, XIII, 233, 282 et suiv.

Montluc (Blaise de) ne paroît à la tête des armées qu’à l’âge de 47 ans ; Henri II lui donne un gouvernement en Italie, XX, 5. Énergie de son caractère ; sa tolérance pour les protestans ; il se livre ensuite aux plus grands excès contre eux, puis les épargne et favorise leur retraite en Béarn, 6. Caractère distinctif de ses Mémoires, 7. Il rassemble les débris de l’armée battue près de Marciano, et se jette dans Sienne ; tombe malade ; à peine convalescent, il prend toutes les mesures propres à préserver cette ville de toute surprise, 63. Rassure les habitans, et leur promet de ne point les abandonner, 64. Refuse d’être compris dans le traité de capitulation de la place, et en sort après une courageuse résistance ; se rend à Rome, où il est témoin de la mort du pape Marcel II, 65. Est envoyé en Guyenne avec des instructions rigoureuses contre les protestans, mais il est contrarié dans ses opérations par