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mêmes États sur le serment à faire à l’édit d’union, XXXVIII, 441. Son premier discours aux conférences de Suresnes, XLI, 312. Son second discours sur la nécessité de reconnoître le Roi, 319. Sa réponse aux discours de l’archevêque de Lyon sur l’obéissance due aux rois, 337. (Mém. de Cayet.) — Fait l’oraison funèbre du duc d’Alençon ; distique contre lui, XLV, 277. Sa mort, XLVIII, 11. Détails sur ce sujet, 19. (Mém. de L’Estoile.)

Beaune, vicomte de Tours, est tué au siége de Cateau-Cambresis par le duc d’Alençon, XLV, 213.

Beaune (Regnault de), évêque de Mende, chancelier du duc d’Alençon, reçoit ordre de rendre les sceaux, et se retire en Berri, craignant la colère du prince qu’il a volé, XLV, 197.

Beaurain (Dreux de) prend la croix, I, 104.

Beauregard-Champerose (M. de) est blessé à l’affaire de Pont-Liève, entre les troupes du Roi et celles du grand prieur de Vendôme, L, 475.

Beauvais le Brave, normand, homme d’armes du seigneur d’Imbercourt, empêche lui deuxième les habitans de Villefranche de fermer leurs portes, et pénètre dans cette ville, XVII, 259. Est tué dans la retraite des Français sur les bords de la Sesin, 451.

Beauveau (le seign. de) est tué sur le môle du port à Naples, XIV, 266.

Beauvoir (Baudouin de) prend la croix, I, 104. Est nommé pour conduire le second corps de bataille contre l’empereur Alexis, 196. Se prépare à résister à cet empereur, 218. Est de l’expédition faite contre la ville de Philée, 256. Est présent à la bataille d’Atrattinium, 328. Conduit le sixième corps de bataille contre Johannice, 406. Se retire de l’armée, 408.

Beauvoir (Hervé de) prend la croix, I, 102.

Bec-Crespin (Antoine Du), archevêque de Narbonne, est envoyé auprès du duc de Bourgogne pour réclamer la liberté de Rubempré, XI, 336.

Becquet, tripotier, est pendu au Louvre pour avoir assisté au meurtre commis sur la personne du marquis de Maignelet, XLVII, 62.

Becquet, marchand de draps à Paris, d’un esprit foible et superstitieux, devient en une occasion la risée du peuple, XLVII, 362.

Beda (Noël), syndic de la Sorbonne, condamne le livre de la reine de Navarre, intitulé Miroir de l’ame pécheresse, XVII, 115. Est enfermé au Mont-Saint-Michel, où il meurt, 116.

Bedaigne (le capitaine Théaude) attaqué et surpris à Bouhain par les Impériaux, leur tient tête, et à l’aide des secours qui lui arrivent les met en déroute, XIX, 442. (Mém. de Du Bellay). — Défait 30 chevau-légers de don Alvaro de Saude, XXIX, 279. (Mém. de Du Villars.)

Bedfort (le duc de) reçoit de Henri V mourant la régence du royaume, de concert avec le duc de Bourgogne, VI, 360. Devient l’unique dépositaire du pouvoir ; rompt l’union qui régnoit entre l’héritier de la couronne et le duc de Bretagne ; assiste aux funérailles de Charles VI, 361. (Tabl. du règn. de Charles VI.) — Est secondé par d’illustres généraux, VIII, 8. Mesure qu’il prend pour s’assurer de la fidélité et de l’obéissance des Français soumis à la domination anglaise, 10. Parvient à détacher le duc de Bretagne de l’alliance de Charles VII, 13. Présente la bataille au comte de Douglas, 17. Fait signer au roi d’Écosse un traité d’alliance offensive et défensive avec l’Angleterre, 18. Rétablit la bonne intelligence entre l’évêque de Winchester et le duc de Glocester ; apaise le différend de ce dernier avec le duc de Bourgogne ; ramène 20,000 hommes en France, 27. Essaie de donner une forme régulière à la guerre ; oblige le duc de Bretagne à renoncer à l’alliance du Roi, 28. Dispose des plus belles provinces de France ; demande, dans une