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en champ clos livré près de Pontorson, IV, 209.

Bellièvre (le sieur de) est envoyé par le Roi à l’assemblée des protestans tenue à Montauban, en qualité de commissaire, XXXV, 168. (Mém. de Bouillon.) — Est nommé chancelier après la mort de Cheverny, XXXVI, 428. (Mém. de Pontlevoy.) — Est nommé second président au parlement de Paris, XLV, 135. — Bruits qui courent sur sa disgrâce ; sur quoi ils sont fondés, XLVIII, 333. Pompe funèbre de son épouse, 387. (Mém. de L’Estoile.)

Bellin, maire de Beaune, délivre cette ville du joug de la Ligue, et la remet au maréchal de Biron ; détails sur cette réduction, XLIII, 21 et suiv.

Bellosane (Jean Touchard, abbé de), est envoyé par le cardinal de Bourbon auprès de M. de Villeroy pour traiter des moyens de faire la paix, XLIV, 246.

Belloy (Pierre de), avocat général au parlement de Toulouse, est enfermé à la Conciergerie pour avoir écrit en faveur du roi de Navarre contre la bulle du Pape, XLV, 332. Trouve moyen de s’évader, XLVI, 153.

Belmont (Jean de) refuse à Joinville et à Airart de Brienne la barque que le Roi leur avoit accordée pour descendre sur le rivage d’Égypte, II, 215.

Bène (Jean-Louis de La Coste, seign. de), prie le maréchal de Brissac de lui envoyer Montluc pour défendre la ville de Bène, assiégée par Gonzagues, XXI, 137.

Bénéfices et charges vendus au plus offrant ; vers sur cet abus, XLV, 174.

Bénévent (Claude) est renvoyée des Carmélites parce qu’elle n’a pas l’esprit assez fort pour la méditation, XLVIII, 165.

Benoît XII, pape, intervient dans les querelles entre Philippe de Valois et Édouard d’Angleterre, IV, 93. Se dispose à entrer en arrangement avec l’Empereur, 94.

Benoist (le général), de la confrérie des pénitens de Henri III, et surnommé leur trompette ; pourquoi ; est enterré sans torche et sans cierge, XLVI, 98.

Benoist, curé de S.-Eustache de Paris, et confesseur de Henri IV, prononce le jeudi saint, à Orléans, en présence de toute la cour, un sermon qui scandalise le clergé, le peuple, et le Roi le premier, XXXVI, 496. Il refuse obstinément d’y donner une explication satisfaisante dans un autre sermon ; le Pape refuse de lui envoyer les provisions et les bulles de l’évêché de Troyes, auquel il étoit depuis long-temps nommé par le Roi, 497. Le Roi ne veut plus s’en servir pour confesseur, 498. (Mém. de l’abbé de Pontlevoy.) — Va porter au duc de Mayenne, puis au légat, les lettres qu’il a reçues du Roi, pour le prier de venir à son instruction ; réponse de l’un et de l’autre, XLVI, 422. Appelé par le Roi, avec six ou sept autres curés, pour assister à sa conversion, il déclare au légat qu’il ne peut lui défendre d’y aller, ni l’excommunier, pour se trouver à cette cérémonie, 490. Dit en chaire qu’il faut prier pour la conversion des princes ; prie lui-même pour le roi Très-Chrétien, 538. Prêche au sacre du Roi ; est nommé évêque de Troyes, 634. Sa mort ; son éloge, XLVIII, 108. (Mém. de L’Estoile.)

Bérards, chirurgien d’Auvergne, qui avoit guéri le Roi d’une carnosité dix ans auparavant, lui ôte sa chemise après son assassinat, XLIX, 74.

Berault, ministre protestant, entre en conférence avec le trieur Du Perron sur la religion, XLVI, 565.

Bergeronneau, procureur du Roi au bailliage d’Étampes, du parti de la Ligue, est pendu, XXXIX, 185.

Berguettes (messire Jean de), grand chambellan du roi de France, est envoyé auprès de Duguesclin pour le presser de venir à la cour V, 56.

Berion (Jean) est constitué prisonnier pour avoir imprimé le secret des jésuites, XLVIII, 321.