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S.-Jean-d’Angely, pour lui persuader de rendre la ville à Sa Majesté ; détails sur cette négociation, 487. Après un dernier assaut, il signe avec lui une capitulation pour remettre la place, 489. (Mém. de Castelnau.) — La veille de la bataille de Montcontour, charge la troupe de M. de Mouy et la met en déroute, XXXIV, 269. (Mém. de La Noue.) — S’excuse auprès des gens du roi de Navarre de la prise de La Réole, et promet de faire rendre cette place, XXXV, 176. (Mém. de Bouillon.) — Par ordre du Roi lève le siége de Rouen, et opère sa retraite malgré les ducs de Parme et de Mayence, XXXVI, 207. Est tué au siége d’Épernay, 215. (Mém. de Cheverny.) — Fait la guerre au roi de Navarre ; attaque et emporte toutes les petites villes occupées par les huguenots, XXXVII, 172. (Marg. de Valois.) — Tente une attaque sur Nérac, 174. Empêche les huguenots de faire librement leurs courses dans le Poitou ; assiége Marans, XXXVIII, 300. Lève ce siége, 309. Entre dans Louviers avec sa cavalerie, et la livre au pillage, XL, 250. Lève le siége de Pierrefons, 309. Livre une première attaque à la ville de Rouen ; soumet Gournay et Caudebec, 353. Investit Rouen, 354. Force les assiégés à se retirer dans la place, XLI, 50. Taille en pièces la cavalerie légère des ducs de Parme et de Mayenne logée à Ranson, 63. Est tué au siége d’Épernay ; 80. (Mém. de Cayet.) — Calembour du maréchal au roi Henri IV, sur son changement de religion, XLV, 65. Assiége la ville de Rouen, XLVI, 212. Fait enclore toute la ville, 231. Par ordre du Roi il donne l’ordre du Saint-Esprit à l’archevêque de Bourges et à Charles Gontaut, baron de Biron, 235. Arrête M. de Villars dans sa victoire ; est blessé à la cuisse, 241. Reproche au Roi de se trop exposer au combat, 243. Force 2,000 Espagnols retranchés dans un bois, 254. Défait la cavalerie des ducs de Parme et Mayenne, 255. Est tué devant la ville d’Épernay, 267. (Mém. de l’Estoile.) — Fait les fonctions de garde des sceaux après la mort de Henri III, scelle les expéditions, XLIX, 295. (Mém. de Groulard.)

Biron (Armand Gontaut, baron de), attaque un convoi que les Espagnols veulent faire entrer dans la ville de Laon, et le met en déroute. XXXVI, 280. S’empare de Béthune ; réduit le château, 294. Se jette dans l’Artois ; ravage le comté de S.-Paul, 317. Y poursuit le duc d’Ascot et revient chargé de butin, 318. Investit la ville d’Amiens, 326. Est envoyé en Flandre auprès de l’archiduc pour recevoir le serment de l’entretien inviolable de la paix conclue à Vervins, 344. (Mém. de Cheverny.) — Est envoyé en Angleterre pour complimenter la Reine, 506. Paroles remarquables que cette princesse lui adresse, en lui montrant les têtes de quelques conspirateurs attachées à la tour de Londres, 507. (Mém. de Pontlevoy.) — Attaque la ville d’Alençon ; la force à capituler ; assiége le château, XXXIX, 344. Contribue à la prise de Louviers, XL, 249 ; et à la défaite du duc d’Aumale devant Noyon, 278. Difficultés qu’il éprouve pour faire revenir deux régimens de lansquenets nouvellement arrivés qui veulent s’en retourner, 319. Contraint le capitaine Boisrosé, gouverneur du château de Rouen, à se retirer dans cette place, XLI, 28. Est nommé amiral de France, 140. Remet cette charge dans les mains du Roi, qui le fait maréchal. XLII, 232. Reçoit la soumission des habitans de Troyes, 236. Va investir Laon, 239. Défait une partie de l’armée espagnole, 243. Est reçu dans la ville de Beaune, dont il assiége le château, XLIII, 26. Appelé au secours de Dijon, il chasse les ligueurs de cette ville, 37. Est blessé au combat qui précède la bataille de Fontaine-Française, 42. Contribue au gain de cette bataille, 43. Livre combat au marquis de Varambon, et le fait prisonnier, 279. Défait une