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ditieux de Boucher et d’Orléans, est banni de Paris, XLVII, 42.

Bidossan, neveu du duc d’Épernon, est tué en duel par Zamet, XLVIII, 89.

Biandras (le comte Guill. de), gentilhomme de Montferrat, offre de livrer Casal au seigneur de Burie ; comment cette entreprise échoue par sa négligence, XIX, 200. Est tué au siége de Coni, 395.

Bièvres (J. de Rubempré, seigneur de), commandant de Nancy pour le duc de Bourgogne, rend cette place au duc de Lorraine, XII, 221.

Biez (le maréchal Du), gouverneur de Boulogne, quitte cette place pour aller s’enfermer dans Montreuil, assiégé par le roi d’Angleterre ; pourvoit à la défense des places voisines, XIX, 523. Tente une entreprise sur Boulogne ; pourquoi elle échoue, 559. Contre l’intention du Roi et l’avis des capitaines sous ses ordres, il se porte au Mont-Lambert, 585. D’après l’ordre du Roi, entre avec son armée dans la terre d’Oye ; noms des capitaines qui l’accompagnent, 592. Défait les Anglais au Mont-S.-Étienne, 603. (Mém. de Du Bellay.) Est condamné à perdre la tête pour avoir rendu Boulogne aux Anglais ; est enfermé au château de Loches, puis délivré, et meurt de chagrin et d’ennui ; sa mémoire est réhabilitée par lettres patentes, XXI, 60. (Mém. de Montluc.)

Billard des Hostels se distingue à la bataille de Montiel, V, 38.

Bineau (J.) publie pour la première fois les Mémoires du duc d’Angoulême, XLIV, 520.

Birague (le seign. J. de) est fait prisonnier à Sartirague, XVII, 446.

Birague (le seigneur P. de) rend le château de Pavie aux Français, XVIII, 74.

Birague (Carle) découvre un complot formé pour surprendre Chivas, XXX, 223.

Birague (Ludovic de), commandant de Chivas, s’empare de Saluces, et en fortifie le château, XXVIII, 430. Projette avec un Siennois de surprendre Milan, XXIX, 100. Détails sur ce complot ; comment il échoue, 110. Assiége et prend la place de Verrue avec Bonnivet, 140. Est fait prisonnier avec 12 des siens près de Valfénières, 286. Défait un parti d’ennemis près de Santia, 558. Chasse avec son frère Carle de Birague les Impériaux de Gatinare, XXX, 17. Bat un corps d’ennemis près de Santia, 111. En bat un autre près de Verceil, 193.

Birague (le président) emporte le château de Cardé, XXIX, 135. Découvre un projet de livrer Turin à César de Naples, 282.

Birague (le chanc. de) marie sa fille unique au maréchal de Bourdillon ; conduite irrégulière de cette dame, XXXVII, 350. Elle meurt dans une pauvreté affreuse, 351. (Mém. de de Thou.) — Le chancelier prononce à l’ouverture des États de Blois un discours maladroit qui est blâmé de tout le monde, XLV, 145. Reçoit dans la grande église de Paris, de la main du nonce, le chapeau de cardinal, 171. Donne au Roi et à la cour une collation magnifique à Ste.-Catherine du Val des Écoliers, 194. Y meurt ; son caractère, son désintéressement, 268. Ses obsèques, 270. (Mém. de L’Estoile.)

Birague (le cardinal de). Superbe pompe funèbre ordonnée par le Roi à sa mort, XXXVII, 351. Ce cardinal renouvelle une procession qui se faisoit la nuit, et où l’on chantoit et dansoit aux flambeaux, 352.

Biron (le maréchal Arm. de) a la tête emportée d’un boulet de canon au siége d’Épernay, XX, 257. (Introduc.) — Est blessé d’une arquebusade au fort de Mazin, XXIX, 312. (Mém. de Du Villars.) — Charge jusqu’à trois fois les gens du marquis Albert de Brandebourg, et les force à la retraite, XXXII, 332. Défait un parti des troupes du marquis Albert, 392. (Siége de Metz.) — Se distingue à la bataille de Dreux, XXXIII, 249. Est chargé par le Roi d’écrire à Piles, commandant de