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par composition, 324. Marche sur Milan, 422. Noms des capitaines qui le suivent, 423. Prend Novarre et toutes les villes de l’Omeline, 426. Comment il se laisse tromper par Galéas Visconti, 427. Campe entre le chemin de Laudes et de Pavie, 428. Va camper à Vigève, 445. Est blessé d’un coup d’arquebuse sur les bords de la Sesia, 450. Son discours dans le conseil du Roi pour engager à livrer bataille, 483. (Mém. de Du Bellay.) — Est blessé à la prise de S.-Baleing, XXIX, 14. Fortifie Pirmel, 87. Prend Ste.-Victoire et Polens, 88. Ramène en bon ordre les troupes envoyées pour surprendre Cairas, 91. Assiége et prend la place de Verrue avec Ludovic Birague, 140. Jette des forces dans la ville d’Albe, et force Fernand Gonzague à s’éloigner de cette ville, 179. Attaque le fort de Cève, et le prend par capitulation, 183. Reprend Sommerive, dont La Trinité s’est emparé, 283. Emporte Villeneuve du Montdevis, et purge le pays des brigandages de La Trinité, 294. Entre dans Casal, 352. Défend Santia ; brûle un moulin que l’ennemi occupe au nombre de 100 hommes ; enlève un convoi sur le chemin de Verceil, 513. Sa mort ; son éloge, XXX, 73. (Mém. de Du Villars.)

Bonnivet (le seigneur de), fils de l’amiral Bonnivet, est blessé à l’attaque d’un fort au pays de Naples, XVIII, 61.

Bonnivet (de), du parti du Roi, est battu, fait prisonnier et tué de sang-froid par les ligueurs, XXXIX, 275.

Bordage (le sieur Du) assure au Roi la ville et le château de Vitré, XXXIX, 73.

Bordeilles (le capitaine) est blessé dans une sortie exécutée par le vidame de Chartres devant Metz, XXXII, 377.

Bordet (messire Nicolas), chevalier anglais, est fait prisonnier à Ardevon, VIII, 100.

Bordillon (le seign. de) contribue à la prise des forts de la terre d’Oye, XXI, 68. Est blessé à la bataille de Ver, XXII, 145. (Mém. de Montluc.) — Se sauve de la bataille de S.-Quentin, XXIV, 202. Obtient à la paix la garde et protection de Metz, Toul et Verdun pour le Roi, 238. (Mém. de Tavannes.) — Reste lieutenant de roi à Mézières, en l’absence de M. de Nevers ; se fait estimer des ennemis mêmes par sa prudence et sa sagesse, XXXI, 40. Fait d’heureuses excursions dans le Luxembourg et dans les Ardennes, 41. Repousse les ennemis dans les bois, près de Maubert-Fontaine, 43. Va au secours du château d’Aspremont, que les ennemis ont surpris, 47. Entre dans Mouzon menacé par les ennemis, et rassure les habitans par sa présence, 93. Ses opérations dans la Champagne, 222. Il est envoyé pour fortifier Mézières, 240. Prend le château de Firment, 304. Est envoyé en Champagne pour en assurer la frontière, 322. Est envoyé à la diète d’Ausbourg, 326. (Comm. de Rabutin.) — Il fait entrer dans S.-Quentin 120 arquebusiers, de 200 qui y sont destinés, XXXII, 449. (Siége de S.-Quentin.) Voy. aussi p. 486.

Borghèse (Barthélémy), se disant bâtard du cardinal Borghèse devenu pape, est mis en prison par le lieutenant Miron, XLVIII, 143.

Borgia (César), fils d’Alexandre VI, apporte à Louis XII la bulle confirmative du jugement qui prononce la dissolution du mariage du Roi, XV, 15. Est accusé d’avoir fait assassiner le duc de Candie, son frère aîné ; son caractère, 16. Ne pouvant obtenir la fille de Frédéric, roi de Naples, épouse Charlotte d’Albret, sœur du roi de Navarre, 29. Attaque Imola, y entre sans résistance, 34. Assiége Forli, et le prend d’assaut, 35. Fait la conquête de la Romagne, dont il est déclaré duc dans un consistoire ; crimes révoltans qui lui sont imputés par les historiens, 43. Veut se faire nommer généralissime des Florentins, 44. Sa conduite horrible dans la