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Page:Petitot - Collection complète des mémoires relatifs à l’histoire de France, 2e série, tome 57.djvu/33

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1658] MÉMOIRES

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de donner un tel secours, ni à tel électeur, prince ou État de se servir de la force du droit d’alliance convenable, et qui est confirmé par le traité de paix. Et afin que le Saint-Empire demeure tranquille, et dans un état assuré de paix, nous donnerons ordre avant toutes choses, incontinent après que nous aurons pris possession de son gouvernement, que Fon commence effectivement des traités de paix dans l’Allemagne entre les deux couronnes qui sont en guerre, principalement dans l’étendue des cercles et patrimoines de l’Empire ; et que, moyennant la grâce divine, le repos soit rendu à leurs royaumes et sujets, à la république chrétienne et à tout l’Empire, et que pareillement l’on conduise sans délai à une bonne et due fin les traités de paix de Pologne.

~c/e 3g, touchant le duc de ~b-e-e~ et /’twe.ytiture de Corregie vers la fin.

« Et il ne pourra préjudicier au duc de Modène, sur le fait de l’investiture de Corregie, de ce qu’il s’est joint en guerre avec la couronne de France, pourvu qu’il se qualifie conformément aux droits du fief, et s’il n’y a une autre exception légitime. » Le serment que l’Empereur fit d’observer les susdits articles de la capitulation est conçu en termes qui méritent bien de tenir leur place dans ces Mémoires

Toutes lesquelles choses en général et en particulier / !OM~ roi des Romains.yM.~oTMme~ a-o/ ? re/HMe.f auxdits électeurs tant pour eux qu’au nom du.5’<M/jE’/ ?~MMe rom<M/ï~j~ engageant notre