Page:Petrović-Njegoš - Les Lauriers de la montagne, trad. Veković, 1917.djvu/12

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faire connaître à la France ce que nous avons de meilleur : notre évangile national, image de l’âme et du cœur serbes.

J’exprime ici à M. Henri de Régnier ma reconnaissance émue pour avoir bien voulu m’encourager dans cette voie, en présentant mon travail. Ce geste, fait par un des plus grands littérateurs français, restera un honneur pour la littérature serbe.

Divna Vékovitch.
Paris, février 1917.