inspire à tous ses mais, trouver quelque dédommagement à ses pieds :
XXXVIII. A droite de l’allée de tilleuls, toujours en descendant de la maison, est une tombe dont l’aspect doit être cher à tous les amis des beaux-arts et de la musique italienne. Ce tombeau, construit en marbre blanc, porte sur le devant une lyre gravée en or, et au-dessous cette épitaphe, aussi gravée en lettres d’or.
- « Morte !
- « Posto hai silenzio a piu suavi accents
- « Che mai s’udiro. »
Cette tombe est la dernière que nous ayons notée parmi les nombreux monumens que renferme le cimetière du père La Chaise. Elle nous a fait faire une remarque que déjà plusieurs autres tombes nous avaient suggérée ; c’est que les architectes chargés de construire ces dernières demeures de l’homme sur la terre, sont loin d’y apporter le soin nécessaire pour les