Eh ! bien, acceptez-vous, douleur prédestinée,
Savez-vous vers quel soir marche votre journée ?…
Peut-être, vos accents pleins d’un poignant adieu,
Aux hommes qui viendront transmettront leur délire,
Et peut-être avez-vous une si grande lyre
Pour qu’avec votre voix chante la voix de Dieu…