Page:Pichot - Monsieur de l'Etincelle, ou Arles et Paris, t. II, Gosselin, 1837.djvu/168

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cher Paul ; mais heureusement que tu es un ami. Enfin, tu recevras demain la stalle. Après l’avoir vue, tu conviendras que Mion Escoubète et mademoiselle Maria Balai méritent également ton estime et ton admiration.

— Je t’assure que tu m’as rendu curieux de la voir, dit Paul, qui crut avoir déjà entendu parler de sa compatriote dans la diligence.

L’entretien se prolongea encore une heure entre les deux camarades, et lorsque Paul quitta Michel, il se souvint des amusants chapitres que Gil Blas consacre à son ami Fabrice Nunez.